Exemples tirés du document publié en cette rentrée par le Secrétariat général de l’enseignement catholique sur les Musulmans en école catholique :
«Le jour de la rentrée, les garçons ne répondent pas à leur nom lorsque la nouvelle directrice, qui succède à un directeur, fait l’appel des classes. Par contre, les élèves répondent à leur professeur principal qui est un homme. »
« Des lycéens musulmans prient régulièrement dans la cour. Un jour de pluie, la directrice leur propose une salle. Ce lieu devient la salle de prière où les élèves invitent des personnes extérieures à l’établissement. La directrice ne peut plus disposer de cette salle pour d’autres activités. »
papa
On nage en plein délire!
Bientôt, les écoles “catholiques” seront cédées comme mosquées…! Pauvre France et quand elle se réveillera il se trop tard!
alain21
Ne leur lançons pas la pierre :ils commencent à ouvrir les yeux puisqu’ils font la recension des situations problématiques.
gm
Personnellement si j’avais été Directeur (ou Directrice) de cet Etablissement j’aurais :
le jour de la rentrée, devant l’attitude de ces élèves “muets” fait venir les familles concernées et devant les parents et enfants réunis, j’aurais mis les choses au point.
Il serait tant que les cathos se bougent et aussi tous les responsables de l’enseignement catholique, avant qu’il ne soit plus catholique.
Cette attitude de rejet des professeurs-femmes montre bien leur volonté d’appliquer leur religion eux, c’est intolérable !
A force de distribuer (que dis-je, brader) la nationalité fançaise et le reste, nous ne sommes plus les maîtres mêmes dans nos écoles, c’est un comble !
Jésus t'aime
Je suis allé voir la fiche en question, elle imagine une situation (l’article pouvait laisser croire à une situation réelle et sans forcément être d’accord sur tout son contenu, elle ne dit pas que des bêtises, et finalement est très réservée sur le fait de répondre favorablement dans ce cas imaginée
YannH
Il faut virer les élèves musulmans pour avoir refusé de répondre à leur nom, et la directrice pour trois raisons : avoir accepté ces élèves, les avoir laissés prier dans la cour et leur avoir donné une salle de prière.
la contre-révolution, c'est la surnaturelle charité, en actes
Si la modernité n’a rien à opposé à l’islam auquel est confronté l’homme de la rue, il paraît évident que l’islam est considéré par certain « modernes » comme un outil fort utile puisqu’on en fait la promotion dans des « grands » média qui ne sont en rien des places publiques ou des forums de citoyens.
En fait de modernité nous pourrions tout aussi bien parler de pos-modernité, car nos modernes n’ont pas comme les Descartes ou les Kant une confiance démesurée en la raison. La raison en est simple, si l’on part des faits, si on ne cherche pas à démontrer des évidences, celui qui pousse son raisonnement jusqu’au bout, même s’il est agnostique ou sceptique fini toujours par répondre à la question pourquoi, par la considération de la nécessité d’un être par lui-même existant, autrement dit Dieu.
La philosophie des lumières est une gaminerie sur le plan intellectuel et le tour de force des détracteurs de la raison est d’avoir fait croire – par un bourrage de crâne peut-être sans équivalent dans l’histoire – qu’en éliminant le questionnement métaphysique il lui avait rendu témoignage. De nos jours la confusion est extrême car en fait de raison c’est l’obéissance à l’opinion qui est enseigné partout (la pauvreté des conversations et de ce qui est exprimé en témoigne). Or l’opinion ininterrogé est par essence sans grande valeur. Par contre avec des média audiovisuel elle est très manipulable.
L’islam ou plutôt le mahométisme, n’est en rien une religion raisonnable, mais un conditionnement politico-religieux, qui enferme la personne et la réduit à sa seule dimension communautaire. Je reste stupéfait de constater qu’il y a des catholiques même traditionnels pour admirer un quart de minute l’abaissement de ses pauvres gens, sous prétexte que la place de l’homme est respectée, ils sont fasciné par tout de même un mouvement politico-religieux qui a fait les plus grands ravages au cours des siècles.
L’homme n’est pas dominant dans le mahométisme ce qui domine tout c’est la crainte sourde,celle qui exclue du groupe et qui vous prive même de vos repères sociaux et affectifs. Alors oui, l’homme peut être affirmatif, peut marquer son territoire, surtout vis à vis des femmes, des enfants ou des « faibles » en général, mais s’il se sent dans une position où l’on ne viendra pas le déloger. Ce n’est pas précisément du courage cela.
Si l’histoire des peuples soumis à cette domination par les comportements, possède des hommes de valeur, il n’y a vraiment pas pour nous de quoi y trouver des modèles, puisque notre histoire, notre Eglise en possède bien plus et que la religion catholique n’a jamais basé sa doctrine sur la crainte inexprimée structurant la vie sociale. Notre Dieu n’est pas un Dieu inaccessible et il est bien plus qu’un être supérieur impénétrable.
Je crois qu’il ne faut pas culpabiliser en nous disant que nous avons failli, que nous ne sommes plus virils ou je ne sais quelle autre opinion préfabriquée. Nous ne sommes pas responsable en tout et pour tout des officines et des fourriers de la bêtise.
Le mahométisme est un succédamné de la vraie religion, comme il est un succédamné d’une morale correspondant à ce que l’homme attend au plus profond de son être: une morale surnaturelle.
Alors oui, avec les demi-savants et les blasés de la laïcité constructiviste (et « vivre-ensemble » est une expression typiquement constructiviste), la plupart de nos responsables religieux, qui sont rarement nos conseillers spirituels, ne sont pas des lumières et cela au prorata de leur croyance -est-ce autre chose ?- aux « lumières » du XVIIIe siècle.
Eux sont victime de l’opinion au premier chef, car la « modernité » est enseignée chez eux à travers le langage « ecclésial » de manière continue et tout concours à maintenir un « entrainement » permanent. C’est d’ailleurs ce training qui les fait tenir souvent, et non plus la méditation des enseignements les plus profonds et le recul sur les choses, sur soi, et sur les gens que l’on trouve alors dans la fréquentation constante de Dieu. Le recul du prêtre du religieux n’est plus souvent qu’une position sociale ou « morale », et y déroger semble se démarquer de sa condition sociale, alors qu’il n’est rien de tout cela. C’est l’amour, la charité qui commande la distance et pas la lettre de la loi. L’oublier transforme la vie religieuse en caserne à options .
Les cloisons étanches du mahométisme peuvent dès lors fasciner, mais ce qui fascine n’est pas humain ici, car de l’homme dans tous les cas on n’a retenu qu’une description déficiente en forme de définition, l’homme n’est pas un animal social ou sociable, mais un animal politique, et un être destiné à vivre s’il le veut vraiment de la vie même de Dieu.
Nous ne sommes pas des loups, des chiens ou des bêtes à cornes. Et c’est cela que l’on peut opposer théoriquement et pratiquement au mahométisme.
Si nous ne sommes pas des loups cependant nous pouvons être violent, il y a une violence légitime celle qui garantie le droit. Je ne supporte pas personnellement de croiser des personnes d’origine maghrébine qui se permettent de faire des réflexions sur la tenue des passants aux passants eux-même ou qui cherchent à visiblement marquer leur territoire en voulant à intimider physiquement. Cela est logique dans leur contexte de peurs sociales offensives et dissimulées, mais cela ne doit pas sortir de leur prison socio-culturelle pour s’imposer à nous.
C’est à nous de faire preuve de courage (résister à la peur en soi) et à être près à témoigner que nous ne vivons ni en harde ni en meute et que la patience des gens raisonnables à des limites visibles et sensibles.
La post- modernité n’a rien a opposer, mais la vraie vie n’est pas post-moderne surtout sortie du quartier de saint germain des prés.
la « montée » du mahométisme est pour l’instant une construction entièrement soutenue par ceux qui y ont intérêt parmi les post-modernes. De lui même il serait bien incapable de s’implanter dans des populations qui ont encore des racines chrétiennes. Comment éviter que la greffe ne prenne ?
Garder le sens de la mesure et non pas copier ce qui fascine mais fasciner ceux que l’on copie. On ne peut être prévenant avec ceux qui prennent notre courtoisie pour de la faiblesse, cependant il faut chaque fois que c’est possible déployez les qualités humaines et les compétences morales que l’on ne trouve qu’à l’état sauvage dans les communautés mahométanes.
Les mahométans sont persuadé que le méhdi va venir soumettre les infidèles à leur conception politico-religieuse. Mais sorti de cela et de la peur sociale et comportementale tacite, ils ne peuvent qu’aspirer à autre chose. Ce qu’il faut c’est sortir ces gens de leur carcan sans les déraciner.
Combien de catholiques apprennent l’arabe ? Combien d’évêques pour assurer ce genre de transition (la messe en arabe ou mieux la messe en latin avec une communauté catholique à l’orientale, voilà qui serait bienvenu !) . Il n’y en a pas ? C’est qu’il faut aussi traiter le pendant inversé du mahométisme, l’hédonisme imbécile, et sa mère la post-modernité. Pour cela il faut rendre aux mots leur signification, et ne pas traiter en personne responsable et morale ceux qui instrumentalise le langage et les comportements (manipulation sociale). Assez de ce narcissisme pervers qui tient lieu de vie paroissiale ou « communautaire » dans les diocèses. Bref il faut faire la guerre contre le constructivisme sous toutes ses formes.
L’instrumentalisation des comportements sociaux pour en obtenir un bénéfice est le point commun entre les « penseurs » de la modernité et la structure du mahométisme, combattre cela dès que l’on le perçoit à l’endroit où l’on se trouve c’est donc à la fois détruire le modernisme, mettre un coup d’arrêt à l’hédonisme idiot, et saper à la base les assises du mahométisme comme du constructivisme post-moderne.
la contre-révolution, c'est la surnaturelle charité, en actes
P.S.
Les anciennes populations mahométanes pourraient dans cette partie du monde échapper au constructivisme liturgique en ne passant pas par la case “messe paul VI en arabe”, d’ailleurs, la Messe grégorienne de saint pie V peut parfaitement être accessible à condition de ne pas la compromettre par le jansénisme moral qui la fait ressemblé à une messe basse et ou les fidèles sont spectateur de leur piété. le tout est que l’on permettent la vie sociale comme dans les sociétés chrétiennes arabe.
minimaus
quand je pense à l’enseignemet catholique d’avant 68 ! Il y avait des règles à observer ,on baissait la t^te quand on passait devant nos profs si on passait devant eux , on se levait si un prof/un adulte rentrait dans la classe ,on s’asseyait ensuite quand notre prof inclinait la tête ! En un mot on respectait les adultes de l’école et surtout la directrice , une telle situation était INCONCEVABLE .Nous étions des jeunes normales en dehors de l’école on se maquillait , on portait les premières minijupes …Pourquoi les catholiques baissent les bras dans tous les domaines ?
VD
Ne pas oublier que l’Institut Catholique de Paris forme des Imams !
Naïveté ou collaboration ?
Mouxine
Et bien, il faut mettre au courant le Nonce Apostolique et lui demander d’élever la voix. Pauvre Nonce qui doit supporter les bêtises des catholiques français…