Vice-présidente de l'Assemblée nationale, la macroniste Carole Bureau-Bonnard était chargée mardi après-midi d'animer la séance d'examen du projet de loi «confiance dans l'action publique». On peut dire que la confiance n'était pas dans l'assemblée. Malgré l'aide d'un fonctionnaire de l'Assemblée nationale qui lui soufflait ce qu'elle devait faire, Carole Bureau-Bonnard a dû quitter le perchoir, le président François de Rugy ayant été rappelé en urgence…
Pagaille à l'Assemblée : huées, députés qui claquent la porte.. Le débat sur la moralisation vire à la confusion.pic.twitter.com/UZfMWYHh91
— Infos Françaises (@InfosFrancaises) 25 juillet 2017
.@olivierdussopt : la confusion des débats "met en péril la validation du texte par le cons constitutionnel" #DirectAN #LoiConfiance pic.twitter.com/rNdKsUQBoW
— LCP (@LCP) 25 juillet 2017
Privé de parole, le député MoDem J-L Bourlanges, furieux, quitte l'hémicycle >> https://t.co/0AUmhzs7sa #DirectAN #LoiConfiance pic.twitter.com/4Pn7FBAM72
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Le député Gosselin lui a donné un petit cours :
.@phgosselin à la présidente de séance : "Ici, on n'est pas dans une phase d'apprentissage !" #LoiConfiance#DirectANpic.twitter.com/vfpX2SQ2NU
— LCP (@LCP) 25 juillet 2017
Mais l'amateurisme c'est le FN, bien évidemment…