Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Netflix a perdu quelque 15 milliards (bien milliards) de dollars en valeur boursière ces derniers jours après l’appel d’Elon Musk à résilier les abonnements.
La campagne a commencé lundi par une publication de « Libs of Tiktok » montrant un extrait de la série animée pour enfants Dead End : Paranormal Park, dont le héros est « un adolescent transgenre » : une fille qui se dit garçon. Elon Musk a retwitté le message en disant : « Ce n’est pas OK. » Puis « Libs of Tiktok » a publié un extrait du Baby Sister Club, qui « encourage le transgenrisme auprès des enfants, fait honte aux personnages pour avoir “mal genré” et exige que le personnel hospitalier traite un garçon comme une fille ». Elon Musk a encore retwitté, et a exhorté les parents à « résilier Netflix pour la santé de leurs enfants ».
L’action Netflix a perdu 2,3% mardi, 2,9% mercredi, 1,04% hier.
Le commentateur et YouTuber Benny Johnson a écrit sur X :
« Netflix sexualise les enfants en présentant des sujets sexuels explicites, graphiques et radicaux comme des “divertissements pour enfants”. Ce que fait Netflix va au-delà d’une guerre culturelle. C’est immoral. Et cela devrait être illégal. »
Elon Musk a retwitté en se disant « 100% d’accord ».
Le psychothérapeute James Esses a publié hier un article où il souligne que « la propagande transgenre ne se contente pas de se cacher discrètement en arrière-plan sur Netflix : ils la poussent activement auprès des utilisateurs. » Il inclut un lien vers un article Netflix de mars 2025 répertoriant les émissions qui « honorent les personnes transgenres et non binaires » à l’occasion de la « Journée de la visibilité transgenre » :
« Chaque année depuis 2009, des millions de personnes à travers le monde célèbrent le 31 mars comme la Journée internationale de la visibilité transgenre (TDOV). D’une femme transgenre qui traverse les États-Unis en voiture avec sa meilleure amie à un élève de quatrième qui retourne en colonie de vacances après avoir fait son coming out, ces acteurs et personnages transgenres et de genre non conforme sont au cœur des titres de notre liste. »
(James Esses avait été expulsé de son cours de troisième année à l’université en 2011 parce qu’il disait que le sexe est biologique et immuable et que cela est particulièrement pertinent dans le domaine de la psychothérapie, car les personnes souffrant de dysphorie de genre doivent être traitées de manière équilibrée et holistique.)