Du 8 décembre 2010 au 8 janvier 2011, l’AED (Aide à l’Eglise en Détresse) lance une grande opération online de soutien des chrétiens au Moyen-Orient, intitulée «cadeaux de Noël messagers» : il est proposé aux internautes de devenir messagers de paix auprès de leur entourage et des chrétiens du Moyen-Orient. Double objectif : une opportunité pour chaque internaute de creuser le sens profond de Noël en offrant des cadeaux messagers à son entourage, et une réponse concrète au Synode pour les chrétiens du Moyen-Orient qui s’est tenu en octobre dernier à Rome où le Saint-Père nous a demandé de prier et de soutenir les chrétiens du Moyen-Orient.
Les internautes peuvent faire trois cadeaux de Noël messagers :
- Faire un don pour soutenir les séminaristes d’Irak, dont la communauté chrétienne a plus que jamais besoin pour trouver le courage de rester au Moyen-Orient.
- Faire dire une messe pour un proche, célébrée par un prêtre du Moyen-Orient ; une manière de dire à votre entourage que vous le portez dans votre prière et de le sensibiliser à la détresse des prêtres du Moyen-Orient.
- Envoyer un message de paix. Poster votre message de paix qui s’inscrira dans le ciel virtuel du site « cadeaux de Noël messagers » à l’intention des chrétiens persécutés au Moyen-Orient. L’AED acheminera ces messages à Mgr Casmoussa, archevêque syrien-catholique de Mossoul, qui les transmettra aux séminaristes de Quaraqosh.
Ce cadeau de Noël (don ou offrande de messe uniquement) pourra être concrétisé par l’envoi – sans surcoût – d’une carte-cadeau qui arrivera au pied du sapin ou directement dans la boîte aux lettres de la personne de son choix. Une belle façon de toucher au cœur son entourage ! L’AED souligne enfin qu’être messager est le devoir de tout chrétien, soucieux de suivre le Christ qui a dit : « allez dans le monde entier ».
Jean Theis
J’ai essayé trois fois de faire un don, après avoir rempli un long questionnaire, et chaque fois ce don (même par chèque) a été refusé !
Je vais essayer à nouveau un peu plus tard, mais croyez-moi que jusqu’à aujourd’hui le système était vraiment mal organisé.