Elle avait osé prier silencieusement dans la rue, non loin d’une clinique d’avortements et avait été inculpée de 4 chefs d’accusation.
Isabel Vaughan-Spruce, directrice du groupe anti-avortement March for Life UK, a été déclarée non coupable, tout comme le père Sean Gough, qui avait été inculpé pour avoir prié dans la même zone de censure à Birmingham.
Mme Vaughan-Spruce a réagi :
« Je suis heureuse d’avoir été disculpée de tout acte répréhensible. Mais je n’aurais jamais dû être arrêtée pour mes pensées et traitée comme une criminelle simplement pour avoir prié silencieusement dans une rue publique. Lorsqu’il s’agit de zones de censure, les prières pacifiques et les tentatives d’aide aux femmes en situation de crise sont désormais qualifiées de « criminelles » ou « antisociales ». Mais ce qui est profondément antisocial, ce sont les mesures prises pour censurer la liberté d’expression, la liberté d’offrir de l’aide, la liberté de prier et même la liberté de penser. Nous devons nous opposer fermement à cela et veiller à ce que ces libertés les plus fondamentales soient protégées, et que toutes nos lois le reflètent »
Michel
En pleine inversion diabolique : les coupables seraient donc maintenant les défenseurs de la vie et les criminels pro-avortements des innocents !…De même que les LGBT seraient la norme et les hétéros des anormaux…
Montalte
Puissent sa prière et son épreuve avoir sauvé une petite vie. Rendons grâce à Dieu pour cette modeste justice enfin rétablie
christianlair
Espérons que cette disculpation fera école ! ! ! Le fait d’arrêter quelqu’un dans la rue pour le seul motif qu’il ( ou elle ) est en train de prier est déjà assez révoltant ! ! ! Pire que dans les pays communistes !…………..
Antigone
Du temps de l’ex-URSS, les chrétiens allaient prier secrètement devant les icônes exposées au musée de l’Ermitage à St Petersbourg.
philippe paternot
elle n’avait qu’à s’allonger par terre, le derrière en l’air en hurlant allah akbar, pour ne pas être inquiétée