Liberté Politique reproduit l’entretien donné par Mgr Giampaolo Crepaldi, secrétaire du Conseil pontifical Justice et Paix, à l’agence Fides. Extrait :
"L’Église n’a jamais avalisé les formes radicales et idéologiques de l’écologisme, pour deux raisons. D’abord, parce qu’elles subordonnent l’homme à une prétendue centralité de la nature. Ensuite, certaines formes radicales d’écologisme risquent de bloquer le développement, et surtout de remettre en cause le droit au développement des pays pauvres”.