Le Salon beige avait relayé cet article de fond du colonel Michel Goya publié sur son blog le 25 octobre dernier. Il s'interrogeait sur l'incapacité des autorités françaises à réagir à un attentat de grande ampleur. Il avait intitulé son article "Le jour d'après la grande attaque". Il est intéressant de le relire :
"C’est donc à peu près entendu, la guerre de la France contre les organisations djihadistes qui dure déjà depuis vingt ans durera encore sans doute au moins autant. Dans le cadre de cette lutte, il est à peu près certain aussi que la foudre, la grande, celle qui fend les montagnes, ne nous épargnera pas éternellement. Les attaques de 2012 et 2015 ont été dures et surprenantes, en fait surtout dures parce que nous, nos dirigeants en premier lieu, avons été surpris alors que de nombreux éléments indiquaient que cela surviendrait. On ne peut introduire la notion de résilience dans le livre blanc de la défense de 2008 et n’en tenir aucun compte, se féliciter régulièrement de déjouer des attentats et ne pas assumer que nous ne pourrons jamais tous les éviter. Ces attaques, et même celles de janvier dernier, qui ont provoqué beaucoup d’émotion, ne sont pourtant encore que peu par rapport aux dizaines d’attentats massifs et d’attaques dynamiques qui ont frappé diverses nations du monde depuis 2001. La première des responsabilités serait d’expliquer que cela arrivera très probablement sur notre sol dans les mois ou années à venir.
Cette grande attaque, par exemple sous la forme d’un commando venu de Libye éclatant en cellules autonomes de massacre au cœur de Marseille ou d’une équipe de snipers frappant les foules parisiennes une nuit du nouvel an…ou tout autre procédé pourvu qu’il soit stupéfiant, sera sans doute finalement bien traitée, c’est-à-dire contenue et réprimée, par les services de police. Le dispositif de l’opération Sentinelle, aura peut-être même cette fois une autre utilité que psychologique. Cela limitera les effets mais n’empêchera pas des dizaines, voire des centaines, de victimes et un immense choc. Tout cela a été parfaitement décrit par ailleurs, en particulier ici et ici.
Il reste à savoir ce qui se passera le jour d’après. Quelle sera la réponse à ce qui, bien plus qu’en janvier, ressemblera vraiment aux attaques du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis ? La France faisant partie des ennemis privilégiés de plusieurs organisations djihadistes, il est probable que tout cela a déjà été anticipé. Les discours forts sont déjà écrits, les actions diplomatiques, les plans de mobilisation des forces de réserve, ainsi que les plans d’engagement des forces déjà prêts pour vaincre l’ennemi…
C’est de l’ironie. Il est probable qu’il n’en est rien. S’il y a bien un message que la France a envoyé après les attentats de janvier c’est bien qu’elle avait été surprise et qu’elle le serait encore plus en cas événements particulièrement graves. Car il ne faut pas confondre les réactions qui ont suivi, le déploiement précipité des militaires dans les rues de métropole comme on injecte une forte dose d’anti-dépresseur, la légère inflexion dans la réduction des budgets et des effectifs, l’engagement momentanée du groupe aéronaval dans le Golfe, la loi sur la sécurité comme des signes d’une réelle stratégie. Une stratégie suppose en effet la définition d’un chemin vers la victoire et la fin de la guerre, et ce chemin on ne le voit guère. Pourtant, quand on cumule tous les moyens engagées dans la « guerre » annoncée par le Premier ministre en janvier, nous sommes au niveau de l’« engagement majeur » (une expression pour justement éviter le mot « guerre ») prévu par le Livre blanc de 2013 et certainement contre l’ennemi prévu par ce même document, tout simplement parce qu'il n'y en a aucun (juste toujours la même liste de menaces). La confusion n’est d’ailleurs toujours pas dissipée, le même Premier ministre qui déclarait la « guerre » annonce maintenant de fait des actions de « police » en Syrie.
L’épée est donc déjà sortie mais pour quel effet ? Nous avons engagé deux brigades dans les rues de métropole afin de rassurer un peu les Français, nous tentons d’endiguer les organisations armées nord-africaines avec 3 000 hommes et quelques aéronefs en limite d’un sous-continent très fragile et de la taille de l’Europe, quant à nos 12 avions de combat au Proche-Orient, ils réalisent 3 % d’une campagne de frappes qui n’obtient que des résultats mitigés contre l’Etat islamique. Le moins que l’on puisse dire est que vu de Raqqa notre contre-djihad manque singulièrement de punch et nous sommes pourtant à notre maximum.
Quel sera alors la réponse stratégique si un commando de l’Etat islamique ou d’al-Mourabitoune parvient à tuer d’un seul coup à tuer autant de civils que le Lashkar-e-Toiba à Mumbai en 2008, soit dix fois plus qu’à Paris en janvier dernier ?
Il faudra alors d’abord expliquer aux Français, pourquoi dans ce pays qui produit 2 200 milliards d’euros de richesse chaque année, l’Etat a la plus grande difficulté à en dégager 62 pour assurer ses missions régaliennes, celles qui assurent la sécurité des Français avec une armée, une police, une système judiciaire et pénitentiaire, une diplomatie. Pire encore, il faudra expliquer pourquoi on a diminué en permanence ces moyens, pourquoi on a baissé la garde alors qu’on ne cessait de dire, y compris dans les documents officiels, que le monde qui nous entourait était toujours plus dangereux. Il sera alors difficile à la même classe politique qui a initié et organisé cette baisse de la garde depuis plus de vingt ans de persuader qu’elle est capable de porter le fer avec fermeté et efficacité contre l’ennemi. Que ceux qui ont provoqué le phénomène avec légèreté soit en mesure de le traiter avec gravité. Que ceux qui ont invoqué des contraintes extérieures pour ne pas agir, notamment européennes, soit capables d’un seul coup de s’y soustraire. Que ceux qui faisaient des affaires avec les monarchies du Golfe, y compris un ancien Président de la république et un ancien chef d’état-major des armées, n’ont pas fermé les yeux sur leur prosélytisme salafiste dévastateur.
La grande attaque sera peut-être le coup grâce, non pas de la France qui a résisté à bien plus, mais d’une certaine France. Le balancier permanent entre l’ouverture et la sécurité, pour l’instant oscillant, basculera largement du côté cette dernière dans un pays à cran. Les conséquences politiques internes en seront sans doute considérables, en particulier en période électorale. Les conséquences sociétales le seraient aussi, ce serait d’ailleurs peut-être un des objectifs de l’attaque. Il faudra gérer la crise autrement que par des slogans, des numéros verts et la désignation de « référents » antiracistes. Il faudra gérer des colères de tous côtés et on ne voit pas très bien comment cela évoluera.
Il y aura des conséquences aussi sur la vie internationale. Il sera difficile de ne pas réagir autrement que par des gestes symboliques ou de faible volume. Le problème est que nous n’avons pas vraiment les moyens de vaincre seuls une grande organisation armée comme l’Etat islamique. Non seulement nous avons réduit notre effort budgétaire, mais, en nous contentant de gérer, difficilement, le modèle de forces hérité de la guerre froide, et en raisonnant en termes de listes de menaces (« le terrorisme ») au lieu d’ennemis sur lequel nous modeler, nous avons un outil de défense apte à tout mais bon à vaincre aucun ennemi un peu important. A cet égard, la victoire au Mali ne doit pas faire illusion. Non seulement les groupes ennemis sur place ne disposait que de 3 000 hommes et si nous avons détruit leurs bases locales, nous ne les avons pas vaincus définitivement. Le combat continuait d’ailleurs, avant que nous décidions de nous en prendre aussi à l’Etat islamique, au moins vingt fois plus important en effectifs. Au final, nous tenterons bien des choses mais avec des moyens insuffisants en attendant, il faut l'espérer, ceux de la mobilisation mais qui viendront des années plus tard. En attendant, il faudra faire preuve d'intelligence, de ruse, et mener aussi une guerre implacable avec des moyens limités. On ne sent pas cependant l'imagination au pouvoir pour l'instant.
La direction de la France est aujourd’hui dans un entre-deux, en paix mais déjà- à force de petites réactions -dans un « engagement majeur », inhibée devant la qualification de l’ennemi (toujours « terroristes » jamais « djihadistes »), bloquée même devant la notion même d’ennemi préférant parler de criminels, coincée devant le mot « guerre » tel un gouvernement de 1939, soucieuse de ne pas déplaire à ses gros clients, acceptant- malgré les événements- la dégradation de ses instruments de puissance, s’avouant impuissante à trouver des moyens supplémentaires pour protéger les Français (sa mission première).
Ce brouillard ne durera pas. La grande attaque sera une épreuve terrible mais elle soulèvera le couvercle et permettra de constater, si nous sommes encore vivants ou déjà morts."
Pitch
Les témoignages en provenance du Bataclan sont sans appel : les terroristes islamiques ont invoqué ISIS (pas l’EI ou Daesh).
Ils n’étaient pas francophones. Ce n’étaient pas des “Français” avec leur fiche S…
Bref, ils sont arrivés récemment dans notre pays, à la faveur de l’invasion migratoire que l’Europe subit depuis l’été. C’est une évidence.
Faustine
Hollande, Valls, Taubira, Cazeneuve, etc., mais aussi Sarkozy, Juppé et consorts, sont les premiers responsables et complices de ces atrocités :
– parce qu’ils brandissent le “principe de précaution” à tout bout de champ… et n’ont pas voulu instaurer un contrôle aux frontières, alors qu’on était prévenu que des hordes de djihadistes envahissaient le pays, cachés parmi les réfugiés ;
– parce que ces islamophiles (qui, tous, construisent des mosquées et dénigrent le christianisme) hurlent sans cesse “valeurs de la république ! valeurs de la république !” tout en laissant s’installer des dizaines de zones de non-droit en France, déjà soumises à la charia, et où peuvent se préparent ces attentats en toute discrétion…
Et ainsi de suite, on pourrait multiplier les chefs d’accusation pour haute trahison, contre tous ces personnages hypocrites et cyniques, qui bradent la France aux Qataris et Saoudiens et la livrent sans défense à la barbarie sanguinaire des djihadistes.
Nostradamus
Bien sûr, bien sûr, il faut d’abord et prioritairement une réponse sécuritaire, c’est à dire militaire, sue le territoire national. C’est d’abord notre sol qu’il faut défendre, même si l’attaque de l’ennemi (qu’il faut désigner clairement) sur son territoire est également indispensable.
Certes il est vrai que comme en 1939 les états (et pas seulement la France) sont mou dans leur réaction et ambigus. C’est qu’il s’agit à la fois de ne pas braquer sa propre population et de ne pas irriter des « partenaires » commerciaux « dont nous avons besoin ».
Il y a plus, si l’islamisme radical est l’ennemi, beaucoup comptent sur l’islam pour affaiblir les racines chrétiennes de l’Europe. Il en résulte une ambiguïté de paroles et d’actes rarement atteinte dans laquelle nos « dirigeants » se prennent les pieds.
Nous voici donc maintenant aux véritables racines de cette violence guerrière. Cette guerre est aussi une guerre idéologique, ou plutôt religieuse, car il faut bien parler de religion de la laïcité. Ce sont les « valeurs » d’un occident vécu comme mécréant et décadent qui sont attaquées. C’est pour aller jusqu’au bout de l’idéologie la société dans sa conception de la famille et de la sexualité. Autrement dit, c’est la contestation de la mini jupe et de l’homosexualité.
On ne combat pas une idéologie avec des Famas G2 ou des AK 47, ni même avec des chars AMX ou Léopard, ni même des Rafales ou des Sukhoi. On combat une idéologie par un combat idéologique.
Et là il faudra bien que l’on prenne conscience que les valeurs « démocratiques » occidentales sont des valeurs qui ne peuvent exister que dans une perspective chrétienne. La Liberté est une valeur chrétienne et non pas marxiste ou capitaliste. La solidarité a été dès le début « la marque de fabrique » du christianisme, qui fait vraiment des frères de tous les hommes. L’égalité dans la différence des enfants de Dieu l’est tout autant. Vouloir l’occident sans christianisme est simplement une illusion, une chimère.
pearce
Nous sommes le jour d’après.
Tout va continuer comme d’habitude.
Les merdias vont nous inonder de pleurniche, de larmes, de compassion à 100 balles, de beaux sentiments, tout cela vide de sens.
Hollande va prononcer des discours plus vides de sens les uns que les autres. Bref : Rien.
Valls va nous faire des coups de mentons à la Mussolini. Combien d’arrestations après les affaires de l’A1, de Moirans etc… ? Donc à part des poses de dictateur de salon : Rien.
Cazeneuve va bavasser, baver, pérorer, pleurnicher, rapetisser. Bref : Rien.
Hidalgo, la reine du ramadan va continuer à insulter la France. Bref : Rien.
Taubira va relâcher les très rares terroristes qui ont pu être arrêtés. Bref : Rien.
La pleurniche et le padamalgam vont nous inonder de leur nuisance. Bref : Rien.
La conférence des évêques de France va nous expliquer combien il faut accueillir les apprentis terroristes. Bref : Rien.
L’armée va racler de chez racler le peu de soldats qui restent pour les planter en potiches devant des sites sans intérêt. Inutile.
Conclusion : RIEN.
La France des provinces va être inondée d’islamistes provenant de Calais et d’ailleurs.
RIEN.
Ce gouvernement de cloportes, c’est le vide absolu.
Mais ceux qui vont être massacrés, poursuivis, traqués, fliqués, molestés, ce sont tous ceux qui veulent la peau de ce gouvernement de parasites.
Finalement, ces attentats ne sont que la conséquence des politiques ineptes poursuivies par l’UMPS depuis des décennies.
Saffroy
L’homme d’Etat est celui qui dirige son pays avec une vision à moyen et long terme.
Nous n’avons hélas, depuis des décennies, que des politiciens de basse-cour, uniquement soucieux de leur réélection, niant les problèmes et vouant aux gémonies ceux qui en font mention en appelant les choses par leur nom !
En Europe deux hommes d’état ressortent du lot, illustrant ainsi la tragique incompétence dogmatique des gnomes de Bruxelles et de l’immense majorité de leurs valets atlantistes qui nous “dirigent” en aveugles.
Ce sont Poutine et Orban !
En face, que de médiocres, de pleutres et de lavettes dont nous verrons prochainement les cadavres dériver au fil de l’eau électorale !
Car dans ce pays, depuis mai 1968 qui a amené au pouvoir cette sinistre cohorte de décadents libertaires, on décore les incendiaires et on embastille ceux qui sonnent le tocsin.
Les terroristes musulmans qui vont de plus en plus mettre la France à feu et à sang sont les enfants naturels de cette engeance de traîtres que la France devra traduire devant une Haute Cour de Justice.
Car il faut, de toute urgence, en finir avec cette caste d’ “Irresponsables et de non coupables ” !
Tonio
Un constat : la France n’est plus souveraine ! On ne s’attaque donc pas à un état ! Il n’y a plus d’état français ! Mais de l’autre côté, les terroristes ne représentent pas non plus une nation !
Par contre ce peuple vassal dit français, a voté et continue à soutenir des hommes politiques qui ont accepté d’aller bombarder de véritables pays sans raison : la Libye et la Syrie ! Ils ont fourni des armes aux pires des criminels (Daesh, Al nosra)
Les pays du Proche et Moyen Orient auront du mal à verser une larme après ce qui s’est passé et qui bien entendu continuera à se produire…
Que faire alors ! Passer devant un tribunal d’exception tous ces hommes politiques qui furent de véritables criminels ! Quitter cette U.E. et cet Otan qui nous ont rendu responsable de ces atrocités ! Et reprenons notre souveraineté !
stievenard Denis
Bonjour,
Etant ancien militaire et plus spécialement ancien légionnaire du 1er R.E.C. je trouve inadmissible que l’état français ne réagisse pas plus vite et surtout plus FORT contre les fous de leur dieu qui n’est pas le nôtre et encore moins le mien!!!
Issue d’une famille française d’origine Belge du coté de mon grand-père,j’ai été déplacé de part mon engagement au sein de l’armée française de l’Afrique à la Guyane en passant par le Golf pour “aider” nos “amis saoudiens”.Mais quels amis? Dès qu’ils peuvent nos amis nous tirent dans le dos alors il ne faut pas s’étonner si 2017 rappelle aux plus anciens une période plus sombre de l’histoire de FRANCE et pas d’ailleurs!
Olier
“nous avons un outil de défense apte à tout mais bon à vaincre aucun ennemi un peu important”
Il serait temps qu’en plus de cesser de se voiler la face nous retrouvions non seulement une fierté mais aussi une volonté.
Comment un misérable (dans tous les sens du terme)Etat islamique peut-il prétendre tenir face à la France ? On croirait revoir la guerre soviéto-finlandaise de 1939-1940.
En moyens physiques on a plus que ce qu’il faut pour triompher (et ce n’est pas parce que ces matériels sont issus de la Guerre Froide qu’ils ne sont bon à rien), il suffit de les utiliser. Et commencer par déployer un peu que 3000 combattants. 30000 commencerait à ressembler un (petit)corps expéditionnaire. On pourrait de même arrêter de tirer des pickups avec des missiles qui en valent 360 (car avec sa manne pétrolière la guerre financière risquerait fort de lui être favorable). On pourrait aussi s’attendre à ce que l’Etat consacre un peu plus que quelques pourcentages de son budget à assurer ses fonctions régaliennes, en fait les seules qui justifient son existence ai-je envie de dire.
Exupéry
Une question : se pourrait-il que “les années les plus sombres de notre Histoire” aient été bien hâtivement nanties de ce superlatif absolu?
Je crains fort que les années “les plus noires” – y compris pour les Français de confession israélite – ne soient finalement, non pas derrière, mais devant nous.
D’ailleurs, ceux qui retournent en Israël en disant, là -bas au moins on pourra se défendre, semblent l’avoir compris.
Antoine
C’est bourré de sectateurs de Mahomet dans notre Armée. Il faudrait peut-être aussi commencer par faire le ménage là, au lieu de leur apprendre le maniement des armes car ils sont des traîtres en puissance à nos soldats dans les conditions que nous vivons aujourd’hui et les évènements suivants qui ne vont pas manquer de se produire si nous laissons les incapables qui sont au pouvoir continuer à s’occuper de nous.
Otho
A Exupéry
Certain juifs restent en France ! Regardez Fabius, celui qui armait Al Qaida ! Et BH Lévy qui poussait le juif Sarkozy à bombarder la Libye ? L’ancien ministre des Affaires Etrangères Roland Dumas ne disait-il pas que « tout cela suit les intérêts d’ Israël » ?:
https://www.youtube.com/watch?v=BH9SHxetO1I
Et Ron Chaya qui nous explique que les musulmans seront utilisés par se débarrasser des chrétiens ? (tapez rabbin coq sur google si vous ne le croyez pas). Ici un extrait du cours donné en novembre 2013 par le Rav Touitou : « Le Mashia viendra que quand l’Europe chrétienne sera totalement anéantie. Donc il faut que l’Islam envahisse l’Europe. Puis la paix régnera car les nations déposeront les armes et serviront le peuple d’Israël » (à partir de 3mn50)
https://www.dailymotion.com/video/x339bnm_mashiah-ou-es-tu-rav-david-touitou-2013_webcam
Le Grand Rabin Sepharade d’Israël ne dit pas mieux :
https://www.youtube.com/watch?v=HdNfnQEWQ8A
Alors arrêtez de penser qu’Israël n’a rien à voir dans ces attentats ou ce Grand Remplacement et posez-vous la question pourquoi il y a un Parlement juif à Bruxelles !
Nodé-Langlois Patrick
Le jour d’après.
Le Pape François a écrit dans son exhortation apostolique ” La joie de l’Evangile ” : ” La réalité est supérieure à l’idée. Cela suppose d’éviter diverses manières d’occulter la réalité : les purismes angéliques, les totalitarismes du relativisme, les nomominalismes déclarartifs,les projets plus formels que réels, les fondamentalismes antihistoriques, les éthiques sans bonté, les intellectualismes sans sagesse.”
Nos gouvernants feraient bien de s’en inspirer.
Non seulement il faut faire la guerre à Daech en se redonnant les moyens militaires que nous avons réduits par angélisme et manque de courage dans la gestions de la dépense publique, mais aussi en luttant contre le relativisme qui nourrit le sectarisme des fondamentalistes islamistes. Ce n’est sûrement pas le laïcisme prôné par une gauche sectaire que nous protégerons notre société contre le terrorisme. On ne lutte pas contre le totalitarisme par un autre totalitarisme. Enfin il faut revoir de fond en comble notre politique au Moyen-Orient et si certains hésitent encore sur l’attitude à tenir vis à vis d’Assad, je leur rappellerai que Roosevelt n’a pas hésité à s’allier avec Staline pour défaire le nazisme, sans doute le totalitarisme le plus dangereux parce que le plus diabolique et le mieux armé. Le communisme est tombé plus tard parce qu’il était une utopie fondée sur l’idée et non la réalité.