Après la menace de référendum, ce sont les partis de droite qui refusent de signer les conditions exigées par Bruxelles.Le chef de la Nouvelle-Démocratie (ND-droite) Antonis Samaras refuse de céder aux exigences de l'UE et du FMI qui réclament l'engagement écrit des chefs de partis du nouveau gouvernement grec à maintenir sur la durée les mesures comprises dans le 2eme plan de sauvetage décidé à Bruxelles les 26 et 27 octobre.
Ce refus bloque le versement des aides d'un montant de 110 milliards d'euros accordé en mai 2010, dont 8 milliards avant la fin de l'année. La Grèce est menacée de défaut de paiement. La ND s'oppose aux hausses d'impôts et en particulier à la hausse de l'impôt sur les sociétés.
Ethos
Ces chefs de partis, élus par le peuple ne pèse rien face aux créanciers avides.
S’ils ne cosignent pas, ils vont être remplacés.
Le peuple est également sous le coup d’un remplacement.
catherine
puissent ils tenir bon face aux diktats!!
Ethos
Ces chefs ne pèsent rien face aux créanciers.
Le pluriel avalé. Lamentable faute et injure à ma langue.
J’en demande pardon à tous.
Ethos