Selon une nouvelle étude de la Drees, le service statistique du ministère de la Santé, 243 600 avortements ont été réalisés l’année dernière. C’est 8600 de plus qu’en 2022, soit 16,8 pour 1000 femmes en âge de procréer (contre 16,2 ‰ en 2022).
Le ratio d’avortement (rapport entre le nombre d’IVG et le nombre de naissances vivantes une année donnée) a également augmenté, atteignant 0,34 (+0,03 par rapport à 2022). En d’autres termes, pour 100 naissances, il y a eu 34 avortements en 2023.
Le taux de recours a augmenté dans toutes les classes d’âges, mais le plus élevé s’observe chez les 25-29 ans (près de 30 pour 1000 femmes). Il atteint même un record historique, jamais atteint ces trente dernières années. Idem pour les 30-34 ans et les 35-39 ans.
D'Haussy
Marianne, la truie maçonnique, s’abreuve de sang de bébés.
Garde67
Je ne sais pas si dans la liste publiée par le Vatican, des “nouveaux” péchés, figure nommément celui de l’avortement. En tout cas, et malgré le manque de précision à ce sujet qui serait pourtant la bienvenue, nous voici face à un génocide qui doit être condamné par l’Église et par toute personne de bon sens.
Mais le personnel politique a d’autres préoccupations : les déficits budgétaires plutôt que le déficit démographique, la couche d’ozone plutôt que la couche-culotte de nos bébés, le sort du loup, de l’ours ou de, je ne sais plus quelles espèces animales, plutôt que la vie des embryons ou encore le tri des déchets. Il y a des tris, dans nos maternités, dont on pourrait s’abstenir.
On milite pourtant pour une écologie intégrale !