Après avoir échoué à suspendre le directeur de l’établissement par le rectorat, qui a du le réintégrer, le ministère de l’Education nationale envisage des mesures pour le sanctionner, en cas de non-correction des manquements signalés dans le fameux rapport d’inspection qui avait entraîné la sanction contre le directeur.
Cette inspection générale avait été déclenchée et un rapport rédigé en juin 2024. Qu’est-il reproché à l’établissement catholique ? Des messes pendant les heures de cours, des «cours orientés, comme sur le génocide vendéen», des «manuels scolaires d’avant 2007» (sic), et puis bien entendu des discours «homophobes» ou «anti-avortement».
«Tout est mensonge», a déclaré au journal Sud-Ouest dimanche soir le directeur de l’établissement, Christian Espeso, ajoutant avoir «produit des dizaines de documents pour dénoncer les biais» du rapport.
«L’intérêt de mes élèves passera toujours avant les idéologues dans l’air du temps. Mes professeurs respectent les programmes, comme l’attestent nos résultats et toutes les inspections. Il nous arrive simplement d’être plus exigeants, mais cela n’est pas encore interdit».
Visiblement il est surtout interdit d’être catholique.
Gaudete
Les laïcards pourris de l’administration du mamouth ne lâchent jamais le morceau, leur école poublik est tellement à la dérive qu’ils ne tolèrent pas que d’autres fassent mieux qu’eux. Qu’ils sachent ces hydres que oui il y a eu un génocide en Vendée, et oui l’avortement est un génocide même si ça leur déplaît. Ce ne sont pas des inspecteurs, ce sont des commissaires politiques qui n’auraient pas déparés sous Hitler ou Staline. IL est grand temps de nettoyer ces écuries d’Augias et l’école publique aurait tout à y gagner ainsi que tous les écoles libres
zongadar
Petite remarque issue de l’observation du monde pourritique actuel : ils ont sans doute peur que les seules élites dignes de ce nom qui restent soit des élites catho. Cela doit leur poser un gros problème.