Le Vice-président du FN communique :
"Par arrêt rendu ce jour [19 mars], la Cour de
justice des Communautés Européennes vient de déclarer que la majorité du
Parlement Européen avait violé une règle de
droit de manière caractérisée, en refusant de défendre mon immunité sur
le fondement de l’article 10 du Protocole International, ainsi que l’en
avaient prié mes collègues étrangers, conduits par le député Luca
Romagnoli.Cette demande avait été formulée alors
que j’étais l’objet de violentes persécutions politiques
professionnelles et judiciaires, pour le « crime » d’avoir répondu aux
journalistes m’interrogeant sur le révisionnisme et l’Histoire de la
seconde guerre mondiale que ces questions relevaient du débat des
historiens. […]Certes, la Cour ne fait
pas droit à ma demande d’indemnité, pour deux raisons :
1) Elle estime que je n’ai plus d’intérêt à agir depuis que onze
magistrats de la Cour de Cassation française m’ont totalement et
définitivement innocenté.
2) Elle considère que je n’apporte pas assez de preuves du lien de
causalité entre la décision illégale de la majorité parlementaire et le
préjudice moral que j’ai subi.
Il n’en reste pas moins que cette
décision constitue un désaveu cinglant des manœuvres partisanes de la
majorité du Parlement et notamment du rapporteur de la Commission, Mme
Diana Wallis, qui, pour éviter de me défendre, avait eu, sous la
pression, recours à un grossier artifice de procédure. Elle constitue un précédent dont les
députés de droite nationale au Parlement européen, constamment attaqués dans leur liberté
d’expression, pourront se prévaloir à l’avenir."
Sancenay
telle est l’authentique résistance : Bruno Gollnisch mérite bien un coup de pouce supplémentaire au second tour. Allez, dans le Rhône-Alpes, un petit sacrifice sur une partie de pêche projetée!
Solange
Bravo Bruno ! Gollnisch président !
Don worrie
Le Parlement européen ferait bien de la mettre en sourdine car la crise grecque et ses suites pourrait mettre à mal son idéologie.