Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"A l'approche du deuxième tour de l'élection présidentielle au Chili, le cardinal Jorge Medina Estévez a déclaré au quotiden La Segunda :
"Au cours de ces 25 dernières années on a pris, sur des questions de valeurs, des décisions radicalement négatives, comme l'institution du divorce, la distribution de la pilule du lendemain, ou encore, comme on veut le faire aujourd'hui, une législation qui met sur le même plan les unions de fait et le mariage, y compris pour les personnes homosexuelles. Pour qui voter, donc ?
Pour le moins mauvais! (…) Nul candidat faisant la promotion de l'avortement ou des unions homosexuelles ne peut recevoir la voix d'un catholique. Alors, il faut parfois voter pour le moins mauvais, ou pour celui qui est accompagné de l'entourage le moins dangereux."
Noetinger
Merci de diffuser cette information.