Le président américain fait siennes les revendications turques.
MJ
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Olivier M
La Turquie est le bras armé et la 2ème armée de l’OTAN, avec 700 000 hommes.
Elle a déjà pris plusieurs fois le commandement de l’ISAF en Afghanistan, où elle est comme un poisson dans l’eau…
Je le sais, je les ai vus faire!
A côté, la France, avec ses 300 000 hommes tous mouillés et tout compris, liée par sa réintégration dans le commandement intégré, ses nouveaux commandements fantoches acquis (Norfolk, le commandement de la doctrine et des écoles OTAN, autant dire du vent), ne pourra jamais rivaliser avec la Turquie autant qu’elle ne pourra plus jamais s’opposer à la politique impériale américano-mondialiste.
Contrepartie de la “réintégration dans l’OTAN”, qui fera de la France les harkis des mondialistes.
Ca change de Camerone, que nous serons pourtant nombreux à aller fêter à Aubagne le 30 avril…
Pol
Ou mais, “Les turcots, les turcots sont de bons enfants!”
Hebe
«La Turquie est le bras armé et la 2ème armée de l’OTAN, avec 700 000 hommes.
Elle a déjà pris plusieurs fois le commandement de l’ISAF en Afghanistan, où elle est comme un poisson dans l’eau…
Je le sais, je les ai vus faire!»
Que voulez-vous dire? Ils sont efficaces? Ils ont du bon matériel?
Mais, bas armé de l’OTAN, sont ils fiables dans l’alliance atlantique? Tant que leur «laïcité» faisait encore façade, cela ne posait pas problème, mais aujourd’hui?
300 000 militaires français, ce n’est pas seulement ça qui est grave. C’est que nous avons une armée mexicaine, sans soldats, où officiers et sous officiers sont surnuméraires par rapport aux hommes du rang. Le matériel et les locaux ne sont plus entretenus correctement. L’argent manque. Certains officiers en sont réduits à équiper leurs troupes chez Décathlon. Lors de mon service militaire, on nous présentait l’armée de métier comme la panacée, mais celle-ci (malgré la valeur de ses effectifs) n’est plus qu’une armée où seuls les troupes spécialisées ou d’élite ont encore un peu d’efficacité. Il n’y a plus de personnel capable d’occuper un terrain.
Enfin, c’est ce que je crois voir, du dehors.