Résumé de l’opération en cours
Installées au cœur de la Dordogne depuis 1923, les sœurs trappistines de l’abbaye d’Échourgnac vivent selon la fameuse devise de saint Benoît : “prière et travail”.
Pour vivre du travail de leurs mains, elles produisent notamment d’excellentes confitures depuis 1983, grâce à un savoir-faire qui se transmet de génération en génération. De l’épluchage à l’étiquetage, toutes les sœurs mettent la main à la pâte !
Mais aujourd’hui, elles remplissent encore les pots à la main, avec un pichet, ce qui leur cause des tendinites régulières…
Elles ont donc besoin d’acheter une “doseuse”, un outil qui remplit les pots avec la bonne dose de confiture ! Plus rapide, plus précis, moins douloureux.
Et pour financer cet outil elles-mêmes, les sœurs se lancent le défi de vendre leurs confitures sur internet.
Objectif : vendre 2000 pots de confiture avant le 7 décembre !
Pour participer à l’opération, vous pouvez :
- passer commande ici : https://divinebox.fr/echourgnac/
- en parler autour de vous, notamment en partageant via ce lien Whatsapp (modifiable avant envoi)

Etiquetage et remplissage des pots, à la main ©Abbaye d’Échourgnac
En savoir plus sur l’abbaye d’Échourgnac
Tout commence en 1868, en plein milieu de la forêt de la Double, en Dordogne, lorsque des moines trappistes de l’abbaye du Port-du-Salut s’implantent sur cette parcelle. Ce lieu était alors insalubre et marécageux… Fidèles à la tradition cistercienne, ils en entreprennent donc l’assainissement, en drainant les marécages et en révélant la beauté de ces terres.
Malheureusement, les lois anti-religieuses de 1910 contraignent les moines à quitter l’abbaye. Les villageois s’organisent donc pour entretenir les bâtiments et perpétuer le savoir-faire des moines jusqu’à ce qu’une autre communauté religieuse prenne le relais.
Et ce jour-là arrive en 1923 ! Ce sont des moniales trappistines qui arrivent et relancent la machine. Elles redonnent vie au lieu, travaillent, prient, accueillent, et inventent deux trésors locaux : le fameux fromage au vin de noix ainsi que des confitures artisanales dont elles seules ont le secret.
Aujourd’hui, l’abbaye compte 19 moniales de 33 à 90 ans. Depuis les Vigiles à 4h45 jusqu’aux Complies à 20h, elles chantent sept offices par jour. Côté travail, elles sont bien occupées à la tisanerie, à la fromagerie, au magasin, à l’hôtellerie et bien sûr… à la confiturerie !
D’ailleurs, pour cette opération, les sœurs mettent à disposition une bonne partie de leur stock, avec dix parfums différents :
- des classiques, comme abricots, fraises, figues ou oranges amères
- d’autres plus originales, comme poires-gingembre, melon-framboises ou encore abricot-lavande
Régalez-vous et faites des heureux autour de vous pour Noël !

Abbaye d’Échourgnac vue du ciel © Abbaye d’Échourgnac
