"Le Comité national italien de bioéthique vient de reconnaître le droit à l’objection de conscience des pharmaciens pour la vente de la « pilule du lendemain » (dont on sait qu’il s’agit, en réalité, d’un abortif)."
En France, les pharmaciens n'ont pas cette liberté.
Jean
Malheureusement, la Cour européenne des droits de l’homme a déjà tranché dans ce genre d’affaire (jurisprudence Pichon et Sajous), et la justice italienne devra se conformer à cette jurisprudence refusant l’objection de conscience.
Mais l’Italie est un pays où la culture de la vie reprend du terrain depuis quelques années !
http://www.cpdh.info/npds/article.php?sid=1028
PG
Il est à craindre que les instances judiciaires européennes condamnent cette liberté, comme attentatoire aux droits des femmes et autres considérations habituelles.