Lu dans la lettre de Valeurs Actuelles :
La censure woke a encore frappé. Face aux pressions d’activistes trans, le Théâtre du Gymnase boycotte la soirée de lancement du nouveau média Omerta, prévue le 16 novembre. Depuis le début de sa campagne d’abonnements, le média d’investigation affronte les interdits à répétition. La promesse éditoriale du directeur de la rédaction Régis Le Sommier n’a pas plu à la bien-pensance. « Avec Omerta, nous allons révéler des choses, pénétrer dans des endroits où l’on n’est pas censé être, pousser des portes que l’on n’est pas censé ouvrir », avertit le grand reporter de guerre. À l’affiche, un documentaire sur le conflit ukrainien, un reportage sur la guerre en Arménie et une enquête sur l’idéologie trans. Un programme que tout le monde n’a pas vu du même œil. Pendant trois jours, Twitter a bloqué des milliers d’abonnements sur le compte d’Omerta. Fin octobre, Libération écrivait un article diffamatoire sur le nouveau média. Conséquence, le Grand Rex annulait la soirée initialement prévue dans ses murs. Ce mardi, veille de la soirée de lancement, le Théâtre du Gymnase décommande à son tour l’événement. Le théâtre indique prendre cette décision à cause de la diffusion d’un documentaire sur les personnes trans. Quid de la liberté d’expression ? « On connaissait des médias attaqués parce qu’ils défendent des positions que certains jugent absolument insupportables à entendre. Mais on ne connaissait pas encore le média censuré avant même d’exister », s’indigne Charlotte d’Ornellas, invitée d’honneur de la soirée.
lavergne21
“media censuré avant même d’exister” : rien d’étonnant , l’idéologie de l’avortement a encore frappé !
TontonJean
“Liberté, égalité, fraternité” où es-tu?
Michel
Libération, ce torchon capitalo-islamo-gauchiste, ne supporte pas les médias qui font librement et honnêtement leur métier sans avoir à se soumettre à la police de la pensée “wokiste”…