Tous les médias gauchistes d’Amérique tombent sur le dos de Donald Trump parce qu’il a osé dire qu’il aimerait que le pays soit de nouveau ouvert pour Pâques – “jour très spécial pour moi”, a-t-il précisé. On peut douter que l’épidémie soit terminée le 12 avril, mais on peut surtout regretter que Pâques n’évoque plus rien pour la plupart des dirigeants occidentaux. Décidément, le problème, ce n’est pas tant le populisme que des “zélites” devenues totalement étrangères à la culture des peuples qu’elles sont censées représenter.
"Easter is a very special day for me. Wouldn't it be great to have all the churches full?
"That would be a beautiful thing" – @realDonaldTrump
That would be awesome!
Let's pray for a great American revival for Easter Sunday! 🙏 pic.twitter.com/SwqgIje7fI
— Elizabeth Harrington (@LizRNC) March 24, 2020
F. JACQUEL
Encore une raison de plus pour que nos chers médias bien-pensants déversent encore plus de boue sur M. Trump. Oser proclamer à la face du monde qu’il souhaite que le jour de Pâques soit celui de la résurrection de son pays dépasse l’entendement de nos gauchistes patentés (en fait, très tentés par le conformisme et la bien-pensance). Ne soyons pas inquiets : jamais JUPITER ne formulera les mêmes vœux.