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France : Politique en France

« On va attaquer quelqu’un pour l’abattre et on va sortir n’importe quelle accusation. Ça va devenir un système. »

« On va attaquer quelqu’un pour l’abattre et on va sortir n’importe quelle accusation. Ça va devenir un système. »

Les médias, qui avaient été très discrets lors des viols commis à Cologne il y a quelques temps, tombent à bras raccourcis sur Eric Zemmour,  accusé d’agression sexuelle (un baiser volé) lors d’une université d’été du PS à La Rochelle. Malgré le caractère grotesque de cette accusation, qui apparaît 17 ans après les faits, nos médias ne semblent pas pressés de chasser la “fake news”.

Elue socialiste, militante féministe, retrouve donc la mémoire 17 ans plus tard (et encore, la date n’est pas certaine…), au lendemain d’une affiche placardée à Aix-en-Provence… Encore une qui n’a sans doute pas la télévision, où Eric Zemmour apparaît quasiment tous les jours.

Cette féministe donc, traumatisée pour un baiser volé (mais pas trop car elle oublié l’année), est relayée par toute la presse, trop heureuse de trouver là une nouvelle affaire Fillon (balancer des pots de pus en lieu et place du débat des idées… il est vrai que l’on parle de plus en plus d’une candidature Zemmour à la présidentielle), qualifiant ce baiser d’agression sexuelle. Voilà qui ressemble à une attaque politique organisée, à l’encontre d’Eric Zemmour, de ses idées, de son aura, de son influence et de sa potentielle émergence sur la scène politique. Une méthode déjà dénoncé par l’intéressé en février :

« Vous verrez, dans l’avenir, ça va devenir systématique. On va attaquer quelqu’un pour l’abattre et on va sortir n’importe quelle accusation. Ça va devenir un système. »

La ficelle est tellement grosse que, sur les réseaux sociaux, les internautes la jugent peu crédible. Mais il faut s’y faire : c’est la nouvelle façon de faire de la politique.

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12 commentaires

  1. Les bonnes vieilles dénonciations comme en 1945 où les faux résistants ont accusé les vrais de collaboration. Personne ne vérifie et on épure!

  2. Et en plus à l’époque c’était sans masque ! Quelle horreur ! Et cet homme est encore en liberté ?

  3. Un baiser au goût de remord pour zemmour. Voilà ce qui rend la dame furieuse, peut-être. :))))

  4. La gôôôche, en général, et la Номенклату́ра jupitériennne, en particulier, commencerait-elle “faire de l’huile” à 354 jours du 1er tour actuellement annoncé pour les présidentielles ?
    Commence-t-elle à faire jouer un quatuor à cordes qui se terminera sur un orchestre wagnérien qui interprétera, on l’espère, “Le crépuscule des dieux” (sortants) ?

  5. Je confirme en 1944 1945, mon grand-père a fait 9 mois de prison… Totalement innocent. Vengeance personnelle.

  6. Il faut chanter la chanson “Perrine était servante -bis
    Chez M. Not’curé digue dondadondainane…

    • « Perrine ô ma Perrine (bis), j’voudrais-t-y ben t’baiser, diguedonda dondaine (bis-dondé)
      -Eh grand nigaud qu’t’es bête (bis), ça s’prend sans s’demander, diguedonda dondaine, etc… » [on est loin de balance ton porc…….]

  7. Les mêmes méthodes qu’avec Jean Marie Le Pen et les gens du FN, rien de nouveau.

  8. Bien sûr, la ficelle est grosse et la personne agressée aurait pu se réveiller avant. Et surtout, lui mettre une tarte au moment des faits… Exiger des excuses, y compris le lendemain s’il avait trop bu etc. Mais, pardon, embrasser une femme de force, c’est une agression. Les réactions des gens qui sont censés être catholiques sur ce blog sont curieuses: quel saint embrassait les femmes de force (ne parlons même pas du Christ)?

    • Toujours à côté de la plaque, mon pauvre Montalte (comme sur le FC) ! Dès qu’un vague plumitif de gauche en mal de copie ou une groupie socialiste ménopausée et sortie de sa torpeur amnésique lancent une accusation contre un de nos amis, vous sautez à pieds joints dans le piège tendu en apportant indirectement votre caution à cette cabale digne de quelque officine de basse police : avec des alliés de votre trempe, nous n’avons pas besoin d’ennemi !

  9. Attention, un baiser volé, c’est assez grave, et c’est normal quand une femme se fait agresser, qu’elle oublie son agression. Cela n’a rien d’étonnant si elle ne se rappelle les faits que 17 ans plus tard, après en plus avoir lu une affiche qui a pu lui redonner la mémoire. Mais, est-ce vrai pour autant? En plus, c’est prescrit. S’il a été coupable, M Zemmour a eu le temps de changer et dans notre société, soi disant tolérante (parce qu’elle ne fait en fait que tolérer certains péchés plus graves d’ailleurs, et pas les pécheurs s’ils sont reconnus comme tels) on oublie le pardon. Par ailleurs, était-ce lui? Avec la mémoire flottante, on peut aussi se tromper d’auteur, car quelqu’un a pu lui ressembler.

  10. toujours la même technique stalinienne de salir quelqu’un, plus le mensonge est gros plus il passe disait goebbels

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