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Immigration

OQTF et laxisme judiciaire

OQTF et laxisme judiciaire

Lundi soir, dans un Flexibus qui relie Paris à Metz, alors que l’autocar traverse la commune de Bry sur Marne (94), l’un des passagers, un touriste slovène d’une trentaine d’années qui voyage avec une amie, demande à deux passagers bruyants du fond du bus de parler moins fort.

Les deux passagers du fond montent immédiatement au créneau et commencent à vouloir en découdre avec l’autre passager. S’en suit une altercation lors de laquelle le Slovène prend plusieurs coups de poings, perd l’équilibre, se retrouve allongé sur des fauteuils et se fait dépouiller de son téléphone.

Un des deux agresseurs en profite pour sortir un tournevis de 30 centimètres et se jeter sur lui pour le planter en criant: “je suis Algérien, je vais te tuer, t’es mort”. Heureusement d’autres passagers du bus interviennent courageusement pour mettre fin à l’altercation.

Aussitôt le car s’arrête, et la police arrive très rapidement pour interpeller les deux agresseurs. Le tournevis est retrouvé caché entre deux sièges. Dans les affaires des agresseurs la police retrouve un ordinateur volé un peu plus tôt, dans un restaurant, et une carte d’identité italienne, probablement volée ou contrefaite.

Ces deux hommes sont deux algériens en situation irrégulière, sous OQTF. Ils étaient déjà connus de la police, puisqu’ils avaient été pris en flagrant délit le 5 octobre pour le vol du sac d’un client dans un restaurant à Paris.

Déférés pour violence dans un moyen de transport (pas de tentative d’homicide retenu) ils ont été condamnés en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) à 6 et 7 mois d’emprisonnement avec sursis. Ils ont été relâchés à l’issue de leur comparution, sans être envoyé en centre de rétention. Ils sont donc de nouveau libres. En attendant la prochaine agression, le prochain meurtre, voire le viol à venir.

Le maire de la ville, Charles Aslangul, a réagi sur les réseaux sociaux en dénonçant le manque de contrôle des frontières. Et la présence régulières de clandestins délinquants dans sa ville.

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13 commentaires

  1. Tant que la volonté politique de mettre un terme définitif à ces comportements puis à renvoyer illico, SANS L’OMBRE D’UN PROCÈS, tous ces malfrats ne sera pas au rendez-vous de l’Histoire et tant que la crainte d’une destitution immédiate ne motivera pas les magistrats félons de notre pays pour protéger les Français nous continuerons de courir droit à l’abîme. Réfléchissez bien à tout ça avant de mettre un bulletin dans l’urne… Ça ne devrait pas tarder.

  2. Relâchés pour qu’ils recommencent !…

    Dans cette affaire, les juges – appartenant sans doute au syndicat gauchiste du “mur des Cons”- se moquent éperdument du Peuple français alors qu’ils sont sensés rendre la justice en son nom… Ce ne sont plus des juges, mais des complices de délinquants…

  3. Règle numéro 1 : ne jamais prendre le bus

  4. Combien y en a-t-il en France de ces déglingués de la touffe, couteau, lame de rasoir ou cutter en poche, prêts à en découdre à la moindre anicroche, allant de larcins à violences ou viols ou autres civilités, voire plus si affinités ? Où placer tous ces OQTF en errance, pour beaucoup meurtriers ou violeurs en puissance, vagabonds désœuvrés et incontrôlés, en fureur contre une population qui les craint et les rejette ? Il faudrait multiplier par 10, 20 ou 30 les centres de rétention.
    Un gouvernement de la meilleure volonté en a au moins pour 2 ans à régler l’exécution des OQTF avec leur pays d’origine, ces délinquants clandestins ont le temps d’égorger et violer 200 personnes avant que ce ne soit résolu. Une véritable bombe en puissance.

    • Objection Votre Honneur ! Où placer tous ces “OQTF” dont personne ne veut ? C’est très simple si l’on en a la réelle volonté : rétablir la peine de RELÉGATION et les les oublier dans des bagnes réédifiés ou réhabilités à cet effet. Il en existe encore en Guyane bien sûr mais il serait tout autant possible de les installer dans l’un ou l’autre de nos territoires perdus dans l’Océan Indien tels que les Terres australes françaises ou les Iles éparses. A commencer par les Kerguelen (dites aussi Iles de la désolation…). Quand on veut, on peut.

      • Idem. Deux ans de délai avant que ce soit prêt. A moins que vous ne les envoyiez sur le caillou sélectionné sans logement ni eau ni vivres, mais là j’imagine le concert de louanges des bonnes consciences universelles.

        • En tout état de cause, tant que l’on continuera à tenir compte des louanges attendues des bonnes consciences universelles, rien d’efficace ne sera obtenu en la matière (comme d’ailleurs dans d’autres !). Alors, il faudra bien choisir un jour… C’est le propre d’un dilemme. “Gouverner, c’est choisir” a prévenu Mendes-France en 1954.

  5. Un jour, pour protéger les miens, ou défendre ma vie, il est possible que je ne puisse plus respecter le 5e commandement…

    Nécessité fera loi.

  6. Les américains ont bien fait Guantanamo, sans trop se soucier de légalisme. Il nous suffirait de faire la même chose pour nos oqtf. … Pardon, il suffirait d’une volonté politique, or pas une seule de nos pseudo élites n’a cette volonté, ils en on même pas l’idée 😙

  7. quand le legislateur et la justice sont défaillants,le peuple n’étant plus représenté,celui ci est en droit d’appliquer lui meme les peines qui s’imposent !

  8. Dans ces cas là, il faudrait avoir le courage de neutraliser définitivement les agresseurs. Pour sauver de futures vies.

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