L’idéologie du genre fait des ravages jusqu’à l’OMS :
Dans le cadre de nouvelles recommandations auprès des professionnels de santé publique, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré aller « au-delà » des « termes binaires », pour « reconnaître la diversité sexuelle et de genre ». « L’identité de genre existe dans un continuum », estime l’organisme, et « le sexe ne se limite pas à l’homme ou à la femme ». L’OMS prendra note des commentaires sur la mise à jour de son manuel jusqu’à l’automne.
Pour le professeur Jenny Gamble, spécialiste en obstétrique à l’université de Coventry, « c’est un rejet de la biologie de base – et une erreur ». « L’annonce de l’OMS n’est pas scientifique », abonde le Dr Karleen Gribble, spécialiste des soins infirmiers et d’obstétrique à l’université de Western Sydney. « La biologie est un facteur déterminant de la santé et de la maladie », rappelle le Pr Gamble.
Ce mois-ci, l’OMS a également déclaré qu’elle allait développer le concept d’« intersectionnalité », « qui examine comment les dynamiques de pouvoir liées au genre interagissent avec d’autres hiérarchies de privilèges ou de désavantages, entraînant des inégalités en matière de santé ».
Shako
Heureusement que ces gans là sont bien payés, ils édifient l’humanité sans aucun doute!
cadoudal
la Révolution nihiliste veut remplacer les concepts de l’ ordre naturel , tels que formulés par l’ aristotélo-thomisme,
par les concepts LGBTQ de Sodome , qui sont contre nature.
l ‘inversion des valeurs qui est prêchée, qui prétend se situer par delà le Bien et le Mal, est le mode préféré de l’ action révolutionnaire qui veut précipiter la ruine de la chrétienté et de son armature intellectuelle .
les missionnaires de cette décadence opèrent avec la blouse blanche des sommités universitaires .
zongadar
L’OMS n’est que le ministère de la Santé du gouvernement mondial, (comme l’Otan est le ministère de la Défense) rien de surprenant qu’elle diffuse de telles thèses., mais il y a pire : le programme scolaire pornographique destiné aux enfants selon les tranches d’âge (du style, découvrir le plaisir de “se stimuler” ou la découverte de contes queer et ce, dès le plus jeune âge)….Tout ceci impose une extrême vigilance des parents et on comprend mieux aussi l’interdiction de l’école à la maison. Reliez les points suivants : Georgia Guidestones, asso ‘Où est mon cycle?’, utérus artificiels.
Montalte
Ils sont complètement has been. Maintenant, les plus branchés ne changent pas de genre, ils sont “détransitionnistes”, c’est-à-dire qu’ils reviennent à leur sexe initial après avoir constasté que le transgenre n’avait pas réglé leurs problèmes… Et ils sont une minorité persécutée, par les LGBT qui les harcèlent sur les réseaux sociaux. Comme les lesbiennes et féministes TERF qui ont compris mais un peu tard, que le transgenre, c’était les hommes prenant la place des femmes (dans les compétitions sportives et bientôt dans les quotas de femmes en entreprise ou en politique). Et qui se font tabasser et expulser des gay-pride par les LGBT.
AFumey
Pour une réponse rigoureusement argumentée je rappelle l’excellent ouvrage de René Ecochard: “Homme, Femme, ce que nous disent les neurosciences” (pour faire court, le sexe biologique dicte sa nature par des éléments tangibles comme les hormones, et structure jusqu’au cerveau). C’est une synthèse basée sur plus de 500 articles scientifiques à travers toute la planète (références données).
Ils ne le savent pas – ou font semblant de l’ignorer – mais la “théorie du genre” (qui n’existe pas comme chacun sait, NVB) et ses prolongements (woke, etc) vit son crépuscule. Mais chut! si on n’en parle pas, cela n’existe pas…
Clofer
Le problème est que même l’église s’ouvre à ces délires.
zongadar
non, pas l’Eglise, mais la Deep Church….