Pour Marine Le Pen, c'est la conséquence du non grec :
"[…] Ce Non du peuple grec doit permettre un changement d’approche salutaire. Les pays européens doivent profiter de cet événement pour se mettre autour d’une table, constater l’échec radical de l’euro et de l’austérité, et organiser la dissolution concertée de la monnaie unique, condition indispensable au retour réel de la croissance, de l’emploi et au désendettement.
Ce soir un pays brise ses chaînes, un pays dit Non à l’eurostérité ! L’heureux effet boule de neige mènera demain d’autres pays vers cette même libération. La dissolution de l’union monétaire a commencé."