Elle avait déjà fait la une pour ses propos sur l’Islam fin juin et Henri avait présenté cette journaliste qui sort de l’ordinaire.
Dans une longue tribune accordée au Corriere della Sera, journal italien, elle tient des propos virulents sur l’Islam, en forme de cri de désespoir, pour cette femme minée par la maladie qui ne souhaite qu’êter écoutée : "Nous sommes en guerre: voulons-nous l’accepter, oui ou non?… L’ennemi n’est pas une faible minorité, et nous l’avons dans la maison".
A propos du terrorisme et de l’Islam : "C’est un ennemi que nous traitons en ami. Mais celui-ci nous hait
cependant et nous méprise avec intensité. C’est un ennemi qui
transforme les mosquées en casernes, en camps d’entraînement et centres
de recrutement pour les terroristes".
Athée, elle s’en prend aussi à la classe politique italienne
et aux papes, le défunt Jean Paul II et l’actuel Benoît XVI, en leur reprochant
une attitude trop ouverte à l’égard de l’Islam.