L’association LGBT “Le refuge” fait souvent la Une. Soit pour inventer des actes homophobes qui n’existent pas. Soit parce que son co-fondateur est mis en examen pour viol.
Avec le suicide d’un jeune homme de 23 ans, les langues se délient concernant l’association LGBT Le Refuge. Extrait de l’article :
Un ancien responsable de l’antenne du Refuge d’Angers qui a démissionné lors de l’arrivée de la nouvelle gouvernance et qui souhaite garder l’anonymat, nous confirme tout et se dit scandalisé : « Le Refuge cherche à étouffer ce drame en démentant. Où sont les bénévoles salariés promis depuis longtemps, les psychiatres et les psychologues annoncés en 2021 par la nouvelle gouvernance, où passent les subventions versées pour protéger les jeunes, comme les 8 000 euros accordés par la Ville d’Angers ? Cette subvention est attribuée au Refuge pour héberger huit homosexuels, pourquoi ne sont-ils que trois ? Maintenant, il y a un mort, celle de Noam ne doit pas rester sous silence ».
Ce lundi, un ex-responsable du Refuge l’assure : « non seulement la nuit, personne ne répond au numéro d’aide d’urgence du Refuge, mais personne ne rappelle, à croire que personne n’écoute les messages ». Et de nous montrer que ses trois appels passés depuis son téléphone mobile dans la nuit de samedi à dimanche sur cette ligne d’urgence -à 0h05, 0h16 et 4h03- demeurent toujours sans retour, ce lundi matin. Il n’est pas exclu qu’une plainte contre X pour « non-assistance à personne en danger » soit déposée dans les jours à venir. Une affaire à suivre.
Des dérives qui se multiplient et qui transforment le « Refuge » en bateau ivre à la dérive. Il faut dire qu’il existe des précédents ! Il y a 5 ans déjà, le président de Lesbian & gay Pride Montpellier était Vincent Boileau-Autin. Déjà contesté, car le local dans le quartier d’Antigone avait été vandalisé et recouvert de tags homophobes, comme cela s’est reproduit à l’identique tout récemment. Mais difficile de savoir s’il s’agit de proches mécontents ou bien de vengeance personnelle, car Boileau-Autin est bien sûr militant de la cause, mais il a selon de méchantes langues tendance à vouloir faire de cette noble cause son gagne-pain. Ainsi, piqué par on ne sait quelle mouche, il a tenté sa chance aux législatives de 2017 au Canada où il voulait représenter les Français de l’étranger en brandissant le drapeau arc-en-ciel de l’homosexualité. Cela s’est soldé par une pantalonnade puisqu’il n’a obtenu que 0,39 % des suffrages exprimés. Puis il a essayé de marier homosexualité et hôtellerie en se bombardant modestement PDG de Friendly Company qui consiste à attribuer le label « Gay Friendly » à des établissements hôteliers, en proposant au passage d’inutiles et sommaires « formations » contre monnaies sonnantes et trébuchantes.
Michaël Delafosse, maire de Montpellier, au titre de président de la Métropole, suspend les subventions avec raison jusqu’à l’obtention de plus d’informations.
cadoudal
le satyre LGBTQ est le surhomme exalté par la République comme le porteur insurpassable de ses “valeurs”;
il doit remplacer le saint catholique, complètement dépassé, dévalué par Vatican II.
philippe paternot
il faut stopper toutes les subventions aux associations bidons, aux syndicats qui n’ont plus d’adhérents, aux journaux de milliardaires etc. les médias alternatifs vivent bien (même chichement) par leurs seuls contributeurs, non?