Phrase sandaleuse et cynique prononcée par François Fillon hier à l’Assemblée, lors du débat sur le projet de loi de révision de la Constitution, préalable à la ratification du traité de Lisbonne :
"ce traité simplifié fait la synthèse entre les attentes de ceux qui votèrent non en 2005 et ceux qui votèrent oui".
"Menteur" dit Yves Daoudal.
MJ