C’est en Espagne,au cœur des monts de Tolède, que le parc d’attraction français a ouvert le week-end dernier. Les espagnols ont beaucoup de chance :
“(…) Le projet, qui s’étend sur 30 hectares, a coûté 183 millions d’euros. Comme en France, les décors sont à couper le souffle et nous transportent à travers l’histoire espagnole, un véritable retour au XVIᵉ siècle. Malgré la crise sanitaire, le parc a pu ouvrir ses portes. “C’est un privilège d’être ici en temps de pandémie alors que nous avons très peu de choses à faire. Là, on est à l’air libre et c’est très appréciable, vraiment super”, témoigne une femme dans le reportage en tête de cet article.
En effet, en Espagne, les parcs d’attractions et restaurants peuvent accueillir du public. 3200 places ont été vendues, soit 30% de la capacité totale du parc. Le succès est immédiat, les visiteurs, petits et grands sont conquis. “On en a vraiment pris plein les yeux”, affirme un père de famille après un spectacle. Pourtant, le concept n’existait pas en Espagne auparavant.
Démonstrations de cape et d’épée, oiseaux de fauconneries, spectacles équestres, les parcs espagnol et français se ressemblent comme deux gouttes d’eau. Seule différence, les personnages français ont été remplacés par des figures emblématiques qui parlent aux espagnols. Ainsi, La Fontaine laisse sa place à Cervantès et la Pérouse à Christophe Colomb (…)
Faliocha
De CAP et d’épée…caput capitis : la tête. Ce qui signifie : d’intelligence, de réflexion, et (l’épée) de force. Rien à voir avec la cape. Sauvons la langue française en grand péril !
Collapsus
Aujourd’hui l’Espagne, demain la Chine et peut-être la Russie. Quand on permet au public de renouer avec ses racines, le succès est garanti. Ce qui nous permet de penser que le mondialisme est condamné à terme car il se heurtera toujours au désir des peuples de conserver leurs appartenances profondes.
C’est le combat profond de Philippe de Villiers et il laissera plus de fruits dans cette œuvre qu’à s’engager dans le marigot de la politique politicienne.