D'Ivan Rioufol :
"Les yeux s’entrouvrent, enfin. "Antisémitisme : ce qu’on ne veut pas dire", titrait Le Nouvel Observateur, la semaine dernière, en s’alarmant de comportements antijuifs dans des banlieues françaises. Mais cela fait dix ans et plus que cette hostilité s’y exprime, dans l’indifférence générale et sous la protection d’associations dites antiracistes, comme le Mrap. "Dans les années 1980, au moindre soupçon d’antisémitisme, l’indignation était immédiate (…) Là, personne, rien. Au motif qu’elle est du côté des opprimés, la gauche n’a pas voulu voir le problème", explique Iannis Roder, professeur en Seine-Saint-Denis, interrogé par l’hebdomadaire. Faudra-t-il attendre encore dix ans pour que la gauche "morale" s’indigne des sentiments anti-français et anti-blancs des intouchables? Ces faits valent actuellement à ceux qui les décrivent d’être accusés de cautionner l’extrême droite.
Le camp du Bien, prompt à déceler un "propos nauséabond" dans la moindre approche d’une vérité interdite, se déshonore par son silence devant ce racisme assumé. Ses leçons de vertu sont des impostures quand elles épargnent les nazillons des cités, qui éclaboussent une population locale souvent passive. La politique de l’autruche, à quoi incite la pensée dominante qui a sacralisé la préférence immigrée, se rend complice de cette décivilisation. Si Le Nouvel Obs s’éveille, nombreux sont les beaux esprits qui rechignent à regarder les premières blessures infligées à la tolérance française par un nouveau totalitarisme, islamiste celui-là. Il instrumentalise la non-discrimination et le respect de l’autre, pour imposer la négation de ce qui lui est différent."
Bernard Mitjavile
Comment souvent article excellent de Rioufol. Je ne sais pas si l’on peut se permettre d’attendre encore “dix ans pour que la gauche “morale” s’indigne des sentiments anti-français et anti-blancs des intouchables”?
MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS
“Le Camp du bien”… Cela me rappelle les résistants auto-proclamés des derniers jours de 1944, lesquels se sont pris pour des saints et ont massacré, torturé ou humilié les ennemis de leur camp communiste, accusés, et aussitôt condamnés, sans appel… J’oppose donc à ces tenants du soit-disant “Camp du Bien” qui n’est en fait que le Camp du Mal, celui du “Camp des Saints”, titre du livre de Jean RASPAIL mais aussi du 1 Milliard de Catholiques baptisés de part le monde dont je fait partie et que le PAPE à désigné comme étant des Anges sur la Terre, opposés aux démons qui règnent en Maîtres sur la pauvre Terre.