Le 5 novembre, le conseil d’arrondissement du XVIIIe a approuvé l’attribution de 3 000 € à la Fasti (Fédération des associations de solidarité avec tous les immigrés). Son objectif est d’accompagner et soutenir les activités économiques d’une quinzaine d’artisans et couturiers clandestins du quartier de la Goutte-d’Or.
Pierre Liscia, conseiller d’opposition (sans étiquette) et seul élu à avoir voté contre, dénonce :
« C’est un coup de canif dans les principes républicains. Cette association, proche de la mouvance indigéniste, défend l’idée que la France mènerait une politique de “racisme d’Etat” et que la police organiserait des “rafles” de réfugiés. Par ailleurs, la Fasti tient un discours qui tend à valider les pires justifications des terroristes qui ont perpétré les attentats de 2015. J’invite les élus, qui seront réunis en Conseil de Paris à partir de mercredi, à un sursaut républicain. Et à voter en responsabilité ».
La Licra demande au maire de Paris, Anne Hidalgo, de renoncer à financer la Fasti :
« Si nul ne saurait contester la nécessité d’accueillir les migrants et de les aider à trouver en France le refuge qu’ils viennent y chercher, les pouvoirs publics ne peuvent le faire avec n’importe qui. Si le réseau Fasti a joué par le passé un rôle d’importance sur l’aide aux étrangers, ses prises de positions actuelles rendent choquante l’idée même de l’octroi d’une subvention d’argent public ».
La Licra rappelle les réactions officielles de la Fasti aux attaques islamistes de janvier, puis de novembre 2015 :
« Ces attentats sont la conséquence de la politique économique et sociale de la France qui paupérise toujours davantage les quartiers populaires, dans le cadre de discours médiatiques stigmatisants ».
La Ville de Paris a pris la décision de… reporter l’examen de la délibération.
Meltoisan
Mais c’est quoi cette phrase ?
{La Licra demande au maire de Paris, Anne Hidalgo, de renoncer à financer la Fasti :
« Si nul ne saurait contester la nécessité d’accueillir les migrants et de les aider à trouver en France le refuge qu’ils viennent y chercher, les pouvoirs publics ne peuvent le faire avec n’importe qui. »}
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Tout d’abord, la LICRA n’est pas le Peuple Français !
D’autre part, le peuple Français a le droit de « contester la nécessité d’accueillir LES migrants » s’il le veut ; en revanche il ne conteste pas la nécessité d’accueillir DES migrants, libre à lui de décider lesquels.
Une fois cette décision prise, il se doit « de les aider à trouver en France le refuge qu’ils viennent y chercher » et dont il a estimé les moyens nécessaires.
« … les pouvoirs publics ne peuvent le faire avec n’importe qui. ». Une fois encore, ce n’est pas la LICRA qui choisit ni le Maire de Paris mais ce devrait être le peuple français.
Vivement les élections !
DUPORT
Alors non seulement je conteste la nécessité d’accueillir les “migrants” !
Mais je conteste aussi le fait de les appeler “migrants” alors que ce sont des MERCENAIRES.