"Selon BVA, ces douze derniers mois, 43 % des Parisiens ont subi des comportements agressifs, 41 % des injures, 17 % ont été menacés, 10 % victimes de vol avec violence ou agression (dont 1/3 plusieurs fois dans l’année). 70 % des victimes signalées à la police portent plainte. Taux de plainte global pour l’ensemble des violences concernées : 36 %."
Parisien ? Mieux vaut ne pas l’être
5 commentaires
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henri
Arrêtez ce genre de post, s’il vous plait.
C’est tellement vrai, que nous ne voulons pas voir débarquer dans nos profondes provinces tranquilles toute l’exode de milliers de parisiens qu’on aime bien………..Chez eux ;-))
sixtine
bof !
rassurez-vous, moi qui vis à Paris, je suis ravie d’y revenir qunad je viens de passer quelques jours à Strasbourg, ma ville natale.
Ce que vous décrivez là comme se déroulant à Paris, existe -en bien pire- dans d’autres villes de Province. (Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Strasbourg, Nice ou Nantes…)
furgole
En ce qui concerne l’insécurité, il est intéressant de lire les romans de Thierry Jonquet. Cet ancien communiste et trostkyste montre dans ses polars, comme un homme de droite n’oserait pas le faire, la montée de l’insécurité et la déliquescence de l’éducation nationale. Son dernier roman “Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte”, Le Seuil 2006 raconte le calvaire d’une enseignante de Seinte-Saint-Denis.
Il est fascinant de voir des gens de gauche prendre conscience de certains dangers bien avant la droite politiquement correcte.
Un auteur qu’il est bon de citer (http://www.fnac.com/Shelf/article.asp?PRID=1867409) lors de nos entretiens avec la gauche aseptisée et bien pensante.
Abbé Charles Tinotti
Dans la même ligne que Sixtine j’ajouterai que le pire c’est dans la campagne désertique repeuplée d’exbanlieusards à 100-150 km de Paris.
Il n’y a pas de gendarmerie, quand il y en a elle ne répond pas (on tombe sur la préfecture qui ne transmet rien) et elle refuse de prendre les plaintes sous prétexte qu’elle a trop de boulot ! ce qui ne m’était jamais arrivé depuis 13 ans que je suis curé du bled : j’ai dû aller 10 fois porter plainte en 2006, et pourtant je suis patient. Au point qu’avec le cantonnier, un paysan baraqué et l’ex instit (pas vraiment à droite) cela fait plusieurs fois qu’on fait nous même des rondes la nuit depuis cet automne
Si si, voilà exactement comment cela se passe, foi de curé de campagne !
Marie
Monsieur l’abbé,
il faut savoir qu’un fonctionnaire de police ou gendarme n’a légalement pas le droit de refuser un dépôt de plainte.
En cas de refus de leur part, un courrier envoyé au Procureur de la République est extrêmement efficace, surtout s’il y a urgence (réactivité immédiate dans ces cas-là).
J’en ai moi-même fait l’expérience.
Et là, je peux vous assurer qu’ils sont aux petits soins!
Rien n’empêche d’ailleurs de noter le nom du fonctionnaire de police ayant opposé son refus, ou d’indiquer les circonstances de service permettant de le retrouver.