Le communiqué du Groupe Europe des Nations et des Liberté au Parlement européen (Marine le Pen, Marie-Christine Arnautu, Janice Atkinson, Dominique Bilde, Mara Bizzotto, Marie-Christine Boutonnet, Sylvie Goddyn, Barbara Kappel, Vicky Maeijer, Joëlle Mélin, Sophie Montel, Mireille d’Ornano, Mylène Troszczynski) sur la journée de la femme vaut bien mieux que le communiqué de Marine Le Pen sur le même sujet :
"Aujourd’hui, 8 mars, nous rendons hommage aux femmes, à toutes les femmes, pour leur rôle de premier plan dans la société, dans le monde du travail, dans la famille et l’équilibre essentiel qu’elles apportent.
La femme était donc logiquement à l’honneur dans l’ordre du jour des travaux du Parlement européen. Malheureusement les seules femmes dont il a été question dans les débats furent les migrantes ainsi que la question de l’accueil et de l’attention que nous nous devons de leur porter.
Sont évidemment passées à la trappe les femmes victimes de violences sexuelles le soir de la Saint Sylvestre à Cologne.
Aucun intérêt non plus pour la situation des femmes qui travaillent durement, de plus en plus tragiquement soumises à une précarité sociale croissante et parfois même violente, situation dans laquelle l’Union européenne porte une si lourde et directe responsabilité.
Aucun soutien encore ni aucune considération n’est apportée pour les femmes qui privilégient avant tout l’éducation de leurs enfants afin de leur transmettre les valeurs fondamentales qui les aideront à se construire.
C’est la raison pour laquelle les femmes du groupe Europe des Nations et des Libertés, soutenues par leurs collègues masculins, choisissent en ce jour de se retrouver aux côtés de ces femmes, pour les défendre, les encourager et les soutenir car elles sont garantes des valeurs qui nous sont si chères et qui sont si lamentablement bafouées."