Lu dans un journal complotiste nommé La Croix, du 14 avril :
Partout en France, des services d’urgences hospitaliers sont contraints de réduire leur activité en raison du manque de soignants. De nombreux plans blancs ont été relancés, sans pourtant devoir faire face à la nouvelle vague de Covid, dont les hospitalisations restent limitées. Au centre hospitalier régional d’Orléans notamment, “sur les 120 paramédicaux que compte le service, 96% sont en arrêt maladie”, s’inquiète Grégory Quinet, secrétaire départemental du syndicat Sud santé-sociaux. Les médecins, eux, s’apprêtent à entamer leur deuxième semaine de grève. À Strasbourg également, la situation est critique depuis le décès, le 17 mars, d’un jeune homme, après son admission aux urgences pour une hémorragie digestive. “Hélas, ce n’est pas une exception. Partout, en France, il y a des gens qui font des arrêts cardiaques dans les couloirs”, affirme Sébastien Harscoat, médecin aux urgences. À Laval (Mayenne), Draguignan (Var) ou Bayeux (Calvados), les urgences n’accueillent plus de patients la nuit. En Seine-Maritime, aux urgences de Rouen, du Havre et de Dieppe, le délai d’attente peut dépasser huit heures. Dans la presse régionale, les urgences de La Rochelle se disent dans “un état d’urgence absolue”, celles de Grenoble “au bord de l’explosion”, liste La Croix. “Combien de tribunes, de mobilisations, de grèves, d’appels au secours faudra-t-il pour que nos responsables politiques prennent la mesure de la situation et agissent enfin ?”, s’alarme le collectif inter-hôpitaux.
Mais d’où vient cette explosion d’arrêts cardiaques ?
Dans un autre journal complotiste, Le Midi Libre du 13 avril, on lit que
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a établi un rapport en mars 2022 indiquant que le rôle du vaccin n’était pas à exclure dans l’apparition du syndrome de Parsonage-Turner chez certaines personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer.
Paralysie, décharges électriques… des symptômes peu agréables voire handicapants recensés chez certains patients ayant reçu le vaccin Pfizer, autrement appelé “Comirnaty”. Les experts de l’ANSM ont en effet effectué une nouvelle analyse en mars 2022 des cas déclarés depuis le début de la vaccination suite à l’évaluation réalisée dans le rapport publié le 24 septembre 2021. Au total, 43 cas de syndrome de Parsonage-Turner ont été déclarés, dont 27 sur la période. En septembre 2021, l’ANSM évoquait six cas.
Une malade témoigne :
“Depuis le mois de septembre dernier, je souffre de douleurs atroces dans l’épaule droite. Dans un premier temps, je n’ai pas fait le lien et j’ai pensé que j’avais fait un faux mouvement. Mon rhumatologue m’a ensuite indiqué que je souffrais sans doute du syndrome de Parsonage-Turner et m’a recommandé de porter une attelle. Depuis, je me couche sur un seul côté et j’ai du mal à m’habiller. Je ne sais plus quoi faire”.
Laurine a reçu sa seconde dose de Pfizer en mai 2021. Elle explique ressentir des “douleurs lancinantes la nuit” et déplore que ses séances de kinésithérapie ne soient pas efficaces.
“Je n’ai jamais été opposée au vaccin. Pourtant là, il y a de quoi se poser des questions…”
Nathalie, Montpelliéraine de 45 ans, a reçu ses trois doses de vaccin. En très bonne santé et sportive, elle s’étonne d’être “très faible” depuis. L’inflammation à son épaule lui “bousille la vie” depuis bientôt un an. Pour elle comme pour d’autres, “la coïncidence est grosse“. Elle ne peut croire que le vaccin n’a pas joué un rôle dans sa mésaventure.
En attendant les 4e et 5e doses…
Michel
Peut-on faire confiance à un laboratoire pharmaceutique condamné à plusieurs reprises pour fraudes et autres délits totalisant 10 milliards $ d’amendes ? Et à un président-candidat qui a encouragé et.financé ledit laboratoire pour l’écoulement de son vaccin ?
mouette
Ça fait rien, comme il n’y a pas de rapport non plus entre Macron et le “vaccin” (!) ils vont voter Macron !
Philippe de Geofroy
Concernant les “arrêts cardiaques dans les couloirs” c’est un article qui se plaint du manque de personnel. Les problèmes cardiaques dans un service d’urgence c’est quand même quelque chose d’assez courant et normal, vaccin ou pas vaccin. Vouloir rapporter cette phrase, dans un article qui critique le manque de moyens, à la vaccination me paraît un peu tendancieux. En disant cela je ne prétends pas que le vaccin ne génère aucune complication. On parle actuellement de problèmes auditifs. Exerçant comme O.R.L. j’ai vu un cas de surdité unilatérale brutale très suspect d’être lié au vaccin. Ça n’est pas énorme même si c’est réel et très gênant pour la personne. Je ne connais pas de médicaments avec risque zéro. Par contre, dans le petit hôpital où j’exerce et où il existe un service d’urgence je n’ai pas entendu parler d’un afflux anormal d’accidents cardiovasculaires. Cela est le résultat de ma petite expérience limitée. Je n’en tire pas de conclusions générales.
A.MOR
Oui et la marmotte plie le chocolat dans le papier d’aluminium.
Les gens se rappelleront un jour de vos propos.
Ils sauront ce qu’il fallait en penser.
Faliocha
Philippe de Geofroy fait de la propagande pour le vaccin depuis le début…
oscarlechasseur
Moi, j’ai battu mon record de sépulture.
Mais c’est sans doute une coïncidence !
Pas de preuves tangibles, donc on fonce !
Et une petite 5 ème dose, pour la route ?
Giacomo
Le VAERS américain (Vaccine Adverse Effects Reporting System) qui comptabilise depuis plusieurs décennies les effets secondaires imputables aux vaccins de toutes natures mis sur le marché durant cette période a constaté une réelle explosion du nombre de syndromes divers, AVC, myo et péricardites, atteintes cérébrales, paralysies, surdités, cécités, etC… voire même décès inexplicables depuis que la campagne de vaccination anti-Covid a commencé aux USA. On peut toujours prétendre que “coïncidence n’est pas preuve”, mais la concommitance de leur hausse soudaine avec l’emploi de ces thérapies géniques encore en phase expérimentale ne laisse aucun doute sur leur origine vaccinale.
JulesXR52
Bon, c’est bien malheureux tout ça, mais ces gens n’ont-ils pas une part de responsabilité dans ce qui leur arrive ? Ce n’est pas les avertissements, sur internet et ailleurs, qui ont manqué. Pourquoi faire confiance à une bande de bras cassés qui commencent à vous dire que le masque ne sert à rien pour 15 jours plus tard le rendre obligatoire ?
sivolc
Bien sûr JulesXR52. Votre commentaire s’ajoute à celui de Michel . S’informer, réfléchir et décider sans écouter les menteurs ce n’est quand même pas hors de portée du Français moyen, non? Mais c’est peut-être là que je me trompe!
zongadar
Concernant la part de responsabilité, je pense aussi à tous ces gens qui mangent bio et patati patata, qui font attention à tout ce qui rentre dans leur corps…et qui se sont faits injectés. Cherchez l’erreur.
Faliocha
Injecter…(prendre, mordre…essayez les verbes du troisième groupe avant d’écrire.
A.F
Le plus effrayant est que les “médecins” (s’ils méritent encore ce titre) sont devenus les pires collabos d’une politique quasi-génocidaire.
margot
Témoignage au sujet de l’état de hôpital de Vannes : une amie plus de 70 ans, en assez mauvaise santé, s’est cassé le col du fémur. Elle souffrait bien sûr, était gardée à jeun jusqu’à 21 heures sans boire ni manger pendant trois jours, a dû attendre trois jours, et sa fille a dû intervenir auprès de la direction de l’hôpital pour qu’elle puisse être opérée (les chirurgiens du service opéraient tous les jours jusqu’à 21 heures mais il y avait plus urgent que son cas).
Désormais en soins de suite dans un hôpital proche, affaiblie, elle a pu obtenir d’être couchée à 16:00, plus tôt que l’heure normale parce qu’en raison de son état de santé préalable elle souffre quand elle trop longtemps assise. Elle ne peut se lever seule donc elle ne peut pas aller aux toilettes. Personne n’est disponible pour assurer un change entre 16:00 et 10:00 le matin suivant. Est-ce humain ? Le personnel fait certainement le maximum mais admettons que l’état du système hospitalier est alarmant.
Giacomo
Je n’ai jamais eu d’accident de la circulation, donc les accidents de la circulation sont des fantasmes répandus par des complotistes.