Un des lieux les plus prestigieux de Paris, le parvis de Notre-Dame, au coeur de l’île de la Cité, portera le nom du pape Jean Paul II. Ce site, un des phares du Paris historique, face à sa Cathédrale (IVe arrondissement), ne sera cependant pas débaptisé : il doit prendre le nom de "parvis Notre-Dame – place Jean Paul II".
Ainsi en a décidé mardi une majorité inhabituelle d’élus municipaux parisiens : socialistes et UMP, pour une fois d’accord, auxquels se sont joints les UDF. La municipalité a, par cet hommage, dérogé à une règle qu’elle s’impose d’ordinaire : attendre 5 ans entre le décès d’un personnage illustre et le fait de donner son nom à une rue ou place parisiennes. La cérémonie aura lieu cet été.
claire
habemus papam!!!
ils ont eu un coup de grace ou quoi???
Martes in deo
Pour 2007, nous partirons vers Chartres depuis la place JPII : belle réalité de cette nouvelle évangélisation!!
Anonyme
il faudrait écrire à la mairie pour dire notre satisfaction ! Les cathos ne sont pas fait que pour râler !
Anonyme
Pourquoi tant de hâte????
sixtine
c’est un nouveau miracle de JP II le Grand…ne le pensez-vous vous pas ?
Anonyme
subito !
Ingomer
Inmanquablement, la vérité reprend tôt ou tard ses droits.
Jean-Paul II critiqué à cause de son engagement jugé trop libéral, il semble que cela soit précisément cet engagement délicat et jugé par d’aucuns ambigü, qui – après avoir fait imploser l’URSS – au nom de la liberté religieuse – soit en passe maintenant de faire exploser le totalitarisme maçonnique qui asservit encore le monde occidental.
Ceux qui persécutaient l’Eglise et la religion catholique, en France, les héritiers des rad.-soc. …, sont en train d’abaisser la garde. Ils ouvrent les yeux et comprennent toute la richesse de la religion catholique. Et ce malgré eux !…
M’est avis, qu’après l’URSS, si le coup marche une nouvelle fois pour la France, on pourra vraiment dire de Jean-Paul II qu’il fut un saint et un sauveur. [Ce qui ne voudra pas dire pour autant que ceux plus traditionalistes, plus rigoristes, avaient tort… Les deux points de vue devant pouvoir se rejoindre dans une “lecture du Concile Vatican II à la lumière de la Tradition.”]