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"Sept cliniques privées chargées par la région espagnole de Castille-La Manche (centre) de procéder gratuitement à des avortements ont suspendu vendredi cette activité, en attendant que la région règle sa facture, a-t-on appris auprès de leur porte-parole. La dette des autorités régionales, qui doivent rembourser l'intervention à la clinique après coup, dépasse le million d'euros, a indiqué à l'AFP Luisa Torres, porte-parole des établissements concernés, qui sont de petites cliniques, incapables de faire face à ces impayés.
En conséquence, ces cliniques, qui réalisaient jusque-là environ 300 interruptions de grossesse par mois, ne vont plus accepter les patientes envoyées par la Sécurité sociale, et les adresser à des services de la région si elles souhaitent faire une réclamation. L'autre alternative est qu'elles s'acquittent de la somme (nécessaire) et ensuite demandent en présentant la facture le remboursement, à la région, a expliqué Mme Torres, chiffrant le coût moyen d'un avortement à environ 400 euros. Les cliniques feront exception pour les mineures ou les femmes adultes n'ayant pas de ressources financières."
Marc
C’est pour cela que la crise qui vient sera purificatrice.
ThomasSXB
L’argent du sang, argent sale et maudit qui leur sera compté au denier près au moment du Jugement.
Hermine
En 1975 l’argument “massue” pour justifier la loi Veil était que seules les riches pouvaient avorter en Suisse ou en GB ! Hé bien aujourd’hui en Espagne seules les pauvres (et les mineures) pourront le faire. Chic alors. Quel progrès !
Les “salopes” Groult, Halimi & Co doivent jubiler.
PG
Ce sont les plus faibles et les plus en détresse (jeunes et/ou pauvres) qui sont interdites de grossesse : eugénisme social et par l’âge.