Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Une fillette de treize ans violée et enceinte de 26 semaines ne subira pas l'avortement en Argentine, au motif que cette intervention mettrait sa vie en péril au point où en est arrivée la gestation.
L'avortement a été sollicité par la mère de la fillette, mercredi dernier, sur le fondement de la loi argentine qui dépénalise l'avortement en cas de viol […]. La semaine dernière, le comité de bioéthique de l'hôpital a décidé de refuser l'avortement, le délai où l'intervention pouvait être réalisée « sans risque » pour la jeune fille ayant été dépassé de 4 semaines. C'est une décision intéressante, puisqu'elle tend à montrer qu'il est moins dangereux pour une jeune adolescente de donner la vie que de subir un avortement, passé un certain délai de gestation."