Lu dans Les 4 vérités :
"Les dernières législatives n’ont pas apporté que des mauvaises nouvelles ! Le Nouveau Parti Anticapitaliste du fameux facteur Besancenot n’a réussi à dépasser 1 % des suffrages exprimés que dans 18 circonscriptions. Il a donc perdu tout droit au financement public des partis (alors qu’il recevait un peu moins d’un million d’euros par an au cours de la précédente mandature)."
Pierre de F.
Malheureusement, le PdF et ses alliés ont été éliminés du financement. Et Alliance Royale, pourtant alliée avec d’autres petits partis, dans une Union Républicaine (un comble d’ailleurs!) n’a rien eu non plus.
Le Fn a tout emporté sur son passage.
c
Si le FN est le fer de lance d’une reconquête de la droite, c’est déjà cela, même si des petits partis souverainistes avaient de bons programmes.
Ernest Combes
Effectivement, certains ne se sont pas dérangés pour voter parce qu’ils ne voyaient pas l’intérêt de voter pour un candidat qui ferait un peu plus de 1%. Mais c’est justement à partir de ce seuil aux législatives (à condition de le réaliser dans au moins 50 circonscriptions) qu’il est possible d’obtenir ensuite un financement durable. En attendant, la manne continue de se déverser pour les “grands partis”, et bien sûr avec nos impôts.
xenophon
personne ne regrettera le “préposé” mais malheureusement le Front de gauche a encore de belles années devant lui.
Bertrand
il recevait un peu moins d’un million d’euros par an
et il traite les autres de capitalistes
Le pays n’a pas à financer les partis c’est scandaleux combien d’emplois on peut créer !!!!
jpr
“Presque partout — et même souvent pour des problèmes purement techniques — l’opération de prendre parti, de prendre position pour ou contre, s’est substituée à l’obligation de la pensée.
C’est là une lèpre qui a pris origine dans les milieux politiques, et s’est étendue, à travers tout le pays, presque à la totalité de la pensée.
Il est douteux qu’on puisse remédier à cette lèpre, qui nous tue, sans commencer par la suppression des partis politiques.”
Simone Weil, Note sur la suppression générale des partis politiques (1940),
Écrits de Londres