L’enseignement catholique n’a pas pu faire face, cette année encore, à la demande. Selon les premières estimations, ses établissements ont été contraints de refuser 30 000 à 35 000 inscriptions. Éric de Labarre, secrétaire général de l’enseignement catholique, est convaincu que l’assouplissement de la carte scolaire n’a guère eu d’incidence sur les effectifs du privé.
Le privé sous contrat ne doit pas scolariser plus de 20% des élèves. Il est donc contraint par les suppressions de postes de l’Education Nationale. Et les parents qui ne peuvent y mettre leur enfant voient donc leur liberté spoliée.
Amédée
Oui mais ça, les membres du gouvernement s’en foutent du moment qu’ils peuvent, eux, mettre leurs enfants dans des écoles privées qui n’ont de catholiques que le nom.
Et ils peuvent le faire, notamment lorsque, les directeurs d’écoles sont plus membres de l’UMP que catholiques… Ainsi à Ste Clothilde à Paris, le directeur de l’école est conseiller municipal UMP de Paris, ce qui peut aider Brice Hortefeux et François Fillon à y inscrire leur projéniture… http://www.bakchich.info/article4874.html
Lionel
Quand comprendront-ils et auront-ils le courage de rompre ce lien avec l’Etat? Que l’école catholique redevienne intégralement libre et catholique pour que cesse ce marché de dupe.
cosaque
D’accord avec Lionel.
“L’Ecole Libre”… de fermer sa gueule.