Certainement de l’homophobie primaire et secondaire… Vivement que le ministère de l’égalité et des LGBT oblige chaque français à aller voir ce spectacle :
Le long-métrage emblématique de la communauté LGBT, Priscilla Folle du désert, ode à la tolérance, raconte l’histoire de trois drag-queens confrontées à l’homophobie ordinaire alors qu’elles traversent le désert australien au volant d’un bus baptisé Priscilla. Succès critique et public avec quelque 150 représentations, la comédie musicale, adaptée de ce long-métrage, a été créée en février 2017 sur la scène du Casino de Paris. Le film, tout comme sa version théâtrale, égrène les plus grands tubes disco des années 70 et 80, dont It’s raining men, I will Survive ou Finally.
«En raison de la complexité… du spectacle, d’une conjoncture sociale et économique défavorable, cette comédie musicale souffre de ne pas rencontrer son public en province, nous sommes donc aux regrets d’annoncer l’annulation de la tournée», indique la société Cheyenne Productions. Philippe Hersen, metteur en scène au Casino de Paris, «regrette cette situation, au nom de la troupe». «Priscilla est un spectacle particulier, dans un esprit très parisien, et nous ne sommes pas étonnés que son message de tolérance ne rencontre pas le même engouement en province qu’à Paris», souligne-t-il.
Santonum
“nous ne sommes pas étonnés que son message de tolérance ne rencontre pas le même engouement en province qu’à Paris”
Continuez à vivre dans vos cercles vicieux et bobos parisiens et laissez la province (la vraie France) tranquille !
chrisfree
Le pire est à craindre pour les contribuables, à eux de régler le déficit de cette débauche.
Denys Perrin
Spectacle trop subtil, trop technique, trop intelligent sans doute …
Michel
«En raison de la complexité… du spectacle, (…) cette comédie musicale souffre de ne pas rencontrer son public en province”. Cause toujours, la province a encore la tête sur les épaules et son public sanctionne comme il se doit les élucubrations d’invertis sans doute subventionnés.
La langue de bois était jusqu’ici le privilège des cocos ; maintenant c’est celle des LGBT : d’un totalitarisme à l’autre, les mêmes méthodes…
Clofer
Le film était assez bon je crois. Des bons films sur la question de l’homosexualité, ça ne manque pas (une journée particulière d’Ettore Scola), c’est intéressant même si on n’est pas d’accord avec le point de vue défendu.
Le problème actuellement, c’est le côté militant et revendicatif des productions, des associations, etc, souvent une agressivité qui fait craindre qu’un jour l’hétérosexualité soit punie par la loi …
Donc ce rejet est bienvenu.
Philippe
Champagne !
Remy
Quel mépris pour “la province” …!