Lu sur Nouvelles de France :
"Deux lesbiennes britanniques se déclarent « amères et trahies » parce que leur donneur de sperme, un ancien ami gay, demande à pouvoir passer des week-ends et les vacances avec son fils biologique. Ils s’étaient rencontrés dans un restaurant et avaient convenu tous les trois, avant la conception, que les deux femmes seraient les « parents » de l’enfant, qu’il vivrait dans une « famille nucléaire » et que l’homme ne ferait pas valoir ses droits de père. Marié à la mère (« un mariage de complaisance ») ce dernier était présent à la naissance de son fils et a pu le serrer dans ses bras. Aujourd’hui, il demande à le voir régulièrement et à être reconnu comme son père. La justice anglaise va donc devoir répondre à cette question : un enfant peut-il avoir trois « parents » et deux foyers ? Les deux lesbiennes veulent élever leur enfant dans « une famille intacte (sic), avec deux parents » et jugent « très étrange » le concept de « trois parents, deux foyers » défendu par le père, selon les termes de leur avocat. Néanmoins, elles ne seraient pas opposées à l’idée qu’il participe à l’éducation de son fils, au contraire…"