Partager cet article

France : Politique en France

Pendant ce temps-là, en Macronie, le nouveau monde ressemble à l’ancien (en pire?)

Pendant ce temps-là, en Macronie, le nouveau monde ressemble à l’ancien (en pire?)

Sylivie Goulard, éphémère ministre des armées et candidate à un poste de commissaire européen, ne démissionnera pas si elle était mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs du Modem :

Dans un document que s’est procuré l’AFP, la candidate française à la Commission européenne, Sylvie Goulard, a exclu ce mardi de démissionner automatiquement de l’exécutif européen si elle était mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs des assistants des eurodéputés MoDem.

« Si je suis confrontée à des décisions judiciaires, telles qu’une mise en examen, je me demanderai si je peux continuer à exercer efficacement mon mandat », écrit Sylvie Goulard dans ce document, où elle répond à des questions écrites des eurodéputés jkugée (…)

Sylvie Goulard détaille par ailleurs, dans ses réponses, son travail de consultante pour « plus de 10 000 € » mensuels, pour un groupe de réflexion américain, l’institut Berggruen, entre octobre 2013 et janvier 2016, alors même qu’elle était eurodéputée.

Aurore Bergé, porte parole de LREM à l’assemblée nationale, a touché plus de 6 000 euros pour deux réunions du conseil communautaire de Saint-Quentin :

“le Canard enchaîné révèle que la porte-parole de la République en marche (LREM), Aurore Bergé – par ailleurs députée des Yvelines en mission auprès du ministère de la Culture, conseillère municipale de Magny-les-Hameux, dans le même département, ainsi que conseillère communautaire à Saint-Quentin-en-Yvelines – a touché plus de 3000 euros par réunion du conseil communautaire de cette même ville.

En effet, l’hebdomadaire note que «depuis son élection comme députée, en juin 2017, Aurore Bergé ne s’est rendue qu’à deux séances – sur 19 ! – du conseil communautaire de Sainte Quentin». Or, pour assister à ces réunions, l’ancienne des Républicains a reçu la somme de 6 067 euros d’indemnités depuis son entrée en mandature au palais Bourbon en juin 2017.”

Malgré la mise en examen de Richard Ferrand dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne, le groupe de santé breton continue de verser un loyer annuel de 45 000 euros à sa compagne :

Les Mutuelles de Bretagne continuent à verser un loyer annuel de 45 000 euros à la compagne de Richard Ferrand, l’avocate Sandrine Doucen, par l’intermédiaire de la Société civile immobilière (SCI) Saca, a appris Le Monde. Cette société est pourtant au cœur de l’enquête judiciaire pour « prise illégale d’intérêts » visant l’ex-directeur général du groupe (1998-2012), devenu président (La République en marche) de l’Assemblée nationale.

 

 

Partager cet article

1 commentaire

  1. Sauf erreur, il y a quelque temps, un député portait un bracelet électronique. Je ne donc pas pourquoi le Président de l’AN ou un Commissaire européen ne pourrait pas aussi en bénéficier…
    ????

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services