C'est une idée italienne : un immigré devant respecter les lois du pays d'accueil (comme le recommande la doctrine sociale de l'Eglise), il disposerait d'un permis de séjour à points, avec 30 points. Une condamnation en justice lui retirerait entre 5 et 15 points, la non-scolarisation d'un enfant, 5 points. A l'inverse, s'il parle italien, il gagnera 8 points, s'il l'écrit, 4 points de plus.
Il y aurait entre 4 et 5 millions d'immigrés en Italie
Eric
Et ils paient combien pour l’obtenir le permis, au départ ?
Clem
Ils ont tout compris. C’est vrai qu’on peu voir depuis des années dans le métro romain et ailleurs en Italie des affiches rappelant aux étrangers séjournant sur le sol italien à la fois leurs droits lorsqu’ils sont victimes de racisme, mais aussi leurs devoirs au quotidien. Et tout cela sans complexe. Bien que bon Gaulois, je me ferais bien re-romaniser, moi.
Bertrand
Une idée à creuser…
Tintoun
Et pourtant on est si loin de la mère de la démocratie : Athènes, qui, au Vè siècle avant Notre-Seigneur Jésus-Christ exigeait (entre autre) de ses citoyens, de naître de père citoyen athénien et d’une mère fille de citoyen athénien !
Soudarded
Il faudrait surtout que les nouveaux arrivants se convertissent, non ? Histoire de règler bien des problèmes.
Pitch
Quand on connaît le nombre d’automobilistes français qui continuent à rouler sans permis (après l’avoir perdu faute de points), on se dit qu’un tel système appliqué à notre pays n’aurait que peu d’efficacité.
Jean Theis
C’est absolument irréalisable.
Je penserais plutôt : tel délit coûte tant. Par exemple, une voiture brûlée, quel prix ? Aux incendiaires de payer.
S’ils sont mineurs, à leurs parents.
Si personne ne peut payer, toutes les subventions sont annulées.
Par contre si les gauchistes et la cléricature amie veulent payer les amendes et les recevoir chez eux, ils en sont complètement libres. Nous sommes des démocrates !
Ce permis va faire l’objet de tractations financières en sous-main.
Ce n’est pas une bonne idée du tout.