Le gouvernement péruvien a publié un décret classant le « transsexualisme », le fait de se travestir et « d’autres identités de genre » parmi les « troubles mentaux ».
Le décret, signé le vendredi 10 mai par la présidente péruvienne Dina Boluarte, le ministre de la Santé et le ministre de l’Economie, stipule que les personnes diagnostiquées avec un « transsexualisme, un travestissement à deux rôles, un trouble de l’identité de genre dans l’enfance, d’autres troubles de l’identité de genre, un travestissement fétichiste ou une orientation sexuelle égodystonique » seront prises en charge pour leur « problème de santé mentale » dans le cadre du plan d’assurance maladie du pays.
Source : Gènéthique
Collapsus
Sans doute un artifice pour faire prendre en charge par l’assurance maladie les frais des opérations chirurgicales.
margot
Le bon sens c’est au Pérou ! dérangement mental aggravé d’un effet de mode délétère c’est bien ce que je pensais …
Questioon au Salon Beige : devant le très petit nombre des lecteurs du SB qui participent financièrement à son entretien, pourquoi ne pas réserver bon nombre d’articles aux “abonnés” comme le fait “Causeur” par exemple ?
France Fougère
Mieux vaut diffuser la bonne parole au plus grand nombre. Privilégier les payants n ‘est pas une bonne idée.
Par exemple, l’accès au Point, propriété d’un milliardaire, est payant !
Irishman
Oui, le bon sens même est péruvien… nous en sommes tellement loin ! Ce n’est que lorsque les gens verront leurs enfants revenir de la maternelle avec des plumes où je pense, qu’ils réagiront enfin ?
denis77
J’ai personnellement rencontré deux personnes (Félix anciennement Juliette et Lou Andréa anciennement Bruno) atteinte de dysphorie de genre, ces deux personnes ont fait l’objet d’un suivi psychologique ainsi que d’un traitement hormonal et chirurgical afin d’avoir “un corps correspondant à leur genre “, que Dieu me garde de les juger -pire de les rejeter-, cependant que l’on ne vienne pas le dire que leur état n’est pas pathologique car en l’absence de pathologie on a besoin ni d’un suivie psychologique, ni d’un traitement médical (cancérogène) et encore moins de la chirurgie. Le Pérou ne fait qu’une chose constater une réalité. En France on nie le caractère pathologique et on prend en charge par le sécurité social les traitements de “transition” on appelle cela un paradoxe.
Bernard Mitjavile
Jusqu’à la fin du 20ème siècle la plupart des pays occidentaux dont les USA considérait l’homosexualité comme une maladie mentale (en France elle était classé comme “pathologie psychiatrique” jusqu’en 1992, aux US, jusqu’en 1973..).