De nouveaux heurts entre hindous et chrétiens dans l’est de l’Inde ont fait un mort de plus mardi, au moment où New Delhi a été critiquée par le Vatican et l’Union européenne pour ces violences inter-religieuses. Dans l’Etat de l’Orissa, plus de 30 Indiens ont été tués depuis fin août, forçant des dizaines de milliers de villageois à fuir après l’incendie d’un demi-millier de maisons et de dizaines d’églises et paroisses.
La question des violences antichrétiennes a été soulevée par l’Union européenne lors de son sommet avec l’Inde lundi à Marseille. Le Premier ministre Manmohan Singh, un sikh, a parlé de "honte nationale".
MJ