Le Sénat espagnol a adopté définitivement, mercredi 6 avril, une réforme du Code pénal permettant de condamner à la prison les militants pro-vie coupables de “harcèlement” à l’encontre de femmes souhaitant avorter. Ils pourront écoper de peines allant de trois mois à un an d’emprisonnement ou à des travaux d’intérêt général pour avoir fait “obstacle à l’exercice du droit à l’interruption volontaire de grossesse” via “des actes gênants, offensifs, d’intimidation ou de pression”. Le harcèlement du personnel soignant sera puni des mêmes peines.
Le parti socialiste du Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, était à l’initiative de ce texte.
Dire la vérité sur l’avortement peut vous mener en prison.
Haizkolari
La secte luciférienne des francs maçons ne veut pas manquer de sacrifices humains.
Chantal de Thoury
Mais que fait donc celui qui devrait être le tres catholique Roi d’Espagne Philippe VI.
Honte a lui….Il est indigne de Son grand oncle le grand Roi de France Louis XVI le Généreux.