Dans son ouvrage, Philippe de Villiers rappelle que Hitler haïssait la nation et voulait lui substituer la race. En 1935, le dictateur nazi déclarait en effet :
L’idée de nation a été vidée de toute substance. J’ai dû m’en servir au début, pour des raisons d’opportunité historique. […]. Laissez la nation aux démocrates et aux libéraux. Nous lui substituerons un principe plus neuf, celui de la race. […] Il ne s’agira plus de concurrence des nations, mais de la lutte des races : c’est la nation qu’il faut dégager […]. Il faut que je brasse ces nations, que je les refoule dans un ordre supérieur, si je veux mettre fin au chaos d’un passé historique devenu absurde.
2018
La nation est une communauté, la race, telle qu’entendue ici, une juxtaposition d’individus. Cette relation entre les individus et le collectif est la même que celle du communisme des années 50, de mai-68, de Daesh, de Facebook et du mouvement MeToo
philippe paternot
des vérités dérangeantes!
voilà qui promet une totale omission sur les plateaux des médias aux ordres
Gaudete
Non tout ça n’est pas bien connu, moi-même je n’en savais rien et heureusement PdV est là pour remettre les pendules à l’heure
DUPORT
Notre duce haït note nation et veut lui substituer l’Islam…
Il serait donc plus proche d’Hitler que de Mussolini ?
Ou bien c’est un savant mélange des deux ?