C'est un choix étonnant : BFM a distancé I-télé quand Fraidenraich était à la tête de cette dernière… comme le rappelle cet article de… Libé :
"En cause : les audiences, encore et toujours. La filiale de Canal +, qui se targuait autrefois d’être la «première chaîne d’info de France» au point de l’inscrire dans son slogan, est distancée depuis 2008 par sa rivale BFM TV. A l’époque, Canal + met à la tête d’i-Télé Pierre Fraidenraich, et à celle de la rédaction, Thierry Thuillier. Trois ans plus tard, i-Télé est passée de 0,4% à 1% de parts d’audience, tandis que celle de BFM a grimpé de 0,8% à 1,8%. Plus dur encore, en mai, l’affaire DSK, du nanan pour les chaînes info, a fait battre son record historique à BFM TV (1,8%) tandis qu’i-Télé n’est qu’à 1%. Et ce, déplore un reporter, «alors qu’on sait pertinemment que sur l’audience de DSK la semaine dernière, par exemple, on était meilleurs qu’eux journalistiquement» ."
flore
je ne crois pas à la contradiction de ce choix. En effet, vous partez de l’hypothèse selon laquelle ce type serait chargé de faire remonter l’Occupation* -ce qui supposerait effectivement que son parcours démontre ses compétences pour faire cela. Permettez-moi de vous présenter une autre hypothèse. Pour ma part, je pense qu’il n’a été nommé que pour une seule raison, à savoir son appartenance à la communauté médiatique (notez bien l’usage de l’expression “communauté médiatique” :D), et que pour une seule mission, à savoir constituer le syndic de liquidation de l’Occupation*.
meltoisan
Mais pourtant, “BFM TV” est à “i-Télé” ce que l’UMP est au PS, pour prendre un exemple au hasard : un simple “rival” !
Je dirais même plus vice versa et réciproquement.
Même infos triées… mêmes experts auto-proclamés, même absence d’idées et pub simultanée au cas où, ayant envie de libération, l’observateur conditionné aurait envie de zapper pour y échapper.