L'Association des victimes d'embolie pulmonaire (AVEP), créée en 2008 par des parents de victimes de la pilule de 3e génération, dénonce la sous-estimation de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) :
"La réalité est sans doute plus proche de 200 décès par an. Rien que sur le site de l'AVEP, qui n'est pas une association connue, nous avons recensé 35 décès, dont les deux tiers datent de ces trois dernières années. Rien qu'à Bordeaux, nous avons dans notre entourage proche eu connaissance de trois décès.
Le cabinet d'avocats de Me Coubris, qui a déposé les premières plaintes en France, a été contacté par 800 femmes victimes ou familles de victimes qui souhaitent déposer plainte.
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