En pleine polémique sur la dangerosité des pilules de 3e ou 4e
génération (déjà 320 dossiers de victimes potentielles), d'autres moyens contraceptifs, en l'occurrence les patchs
et les anneaux, sont montrés du doigt pour les risques qu'ils peuvent
éventuellement représenter pour la santé. Le syndicat national des gynécologues obstétriciens
(Syngof) s'inquiète :
"Le Syngof s'interroge sur
l'absence de recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS)
concernant les patchs contraceptifs et les anneaux également très
utilisés"."Pourquoi ne dit-on rien sur les patchs et les anneaux qui contiennent
les mêmes produits.
Les
patchs contraceptifs tout comme les anneaux vaginaux qui délivrent des
hormones contraceptives contiennent deux types d'hormones, des
oestrogènes et des progestatifs de 3e génération, donc les mêmes
caractéristiques que les fameuses pilules.
Addendum 8h20 : Jeanne Smits en parlait dès 2011, avec une étude danoise qui voit le risque de thrombose 6 à 8 fois plus élevé
chez les femmes utilisant ces contraceptifs que chez celles n'utilisant
pas de contraception hormonale.