Dans sa plainte, l’ancienne assistante parlementaire décrit des coups de téléphone «incessants parfois à des horaires très tardifs» sur son téléphone personnel, des jours de travail non payés, des «humiliations en public» occasionnant stress et perte de poids. Lorsqu’elle est placée en arrêt maladie pour «stress au travail» en juillet 2018, elle affirme être la «quatrième collaboratrice en arrêt maladie pour surmenage en un an».
L’avocat fait également état d’une scène «de violences» le jour de la fin du CDD de sa cliente qui aurait alors été «précipitée contre un poteau dans la permanence de la députée» et se serait «fait écraser le pied» par Anne-France Brunet, occasionnant «la fracture d’un os du pied constatée par certificat médical». À l’époque, elle avait déposé une main courante.
F. JACQUEL
Les membres de LREM, désormais “Renaissance” (!?!) ont un point commun qui doit être la condition de base de leur recrutement : le mépris de la plèbe des Gaulois réfractaires, y compris du “petit personnel” qui s’est fourvoyé à leur service.
Et, aussi longtemps que le pâle toqué élyséen reste en place, ils se savent intouchables. La “justice indépendante” sait fermer les yeux quand elle obéit servilement aux ordres de l’exécutif.