Le témoignage d'un ancien "frère" devenu frère dans la Foi, car fils de "Notre Père". Article de présentation :
"Puisant dans son vécu, lui qui a effectué une semaine de retraite dans une cellule de l'abbaye de Lagrasse et est devenu visiteur de malades, l'auteur arrive à une conclusion : "Plus je revenais à la foi, plus elle me semblait contradictoire avec mon engagement en franc-maçonnerie. On peut concilier les deux de manière tiède, mais je pense qu'on ne peut avoir un engagement honnête en franc-maçonnerie et une foi authentiquement catholique. Moi, mon dieu, ce n'est pas un horloger."
Ce regard mordant, teinté d'une subjectivité assumée, est nourri par ses désillusions et ses frustrations. "Le parcours maçonnique est assez long, on se pose un tas de questions, analyse-t-il, on cherche le secret, on apprend petit à petit des tas de choses mystérieuses, ésotériques, plutôt occultes. J'ai fait mon chemin, mais, en ce qui me concerne, en matière de spiritualité, je n'ai rien trouvé."
Pour acheter le livre, préfacé par le père Michel de l'abbaye de Lagrasse.
DUPORT
“… plus elle me semblait…” (sic)
Mais qu’est ce qui pourrait être plus contradictoire qu’un engagement dans l’Église de Dieu par rapport à un engagement dans l’Église de Satan ?
L’engagement entre la lumière et les ténèbres ?
L’engagement entre la Vérité et le Mensonge ?
C’est l’apothéose, le summum ABSOLU de la contradiction !
Aucune contradiction ne peut égaler celle là !
Pascal63
Il est enfin vérifié qu on ne peut être chretien ET fm , fils de la veuve . A un moment, il faut choisir soit s abandonner à Dieu , soit à l Adversaire !
GE
Ce qui manque dans tous ces témoignages d’anciens FM, c’est de reconnaître qu’il faut être un peu bêbête pour se faire avoir par cette singerie de religion basée sur la superstition et sur des rites et codes d’un ridicule achevé.
Il n’y a pas de honte à avouer qu’on a été stupide à un moment de sa vie sur telle ou telle chose. L’intelligence humaine n’est pas une ressource infinie constamment disponible sur tous les sujets.
Mais c’est quand même LE témoignage numéro un à apporter… et qui ne l’est pourtant presque jamais. Surtout quand on a l’âge de l’auteur de ce livre.