Et il a fallu un rapport de l'Insee pour découvrir cela.
A ceci près qu'une mère s'occupant de ses enfants travaille pour le bien commun. Mais cela, les études statistiques ne l'ont pas encore compris.
Et il a fallu un rapport de l'Insee pour découvrir cela.
A ceci près qu'une mère s'occupant de ses enfants travaille pour le bien commun. Mais cela, les études statistiques ne l'ont pas encore compris.
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jp
Le titre du Figaro, à lui tout seul est une attaque en règle contre les enfants, au nom du ” sacro-saint” droit au travail des femmes.
Quand je vois à 7h00 le matin, en hiver sous la pluie des femmes trimbaler dans des poussettes des enfants hagards, d’abord je les plains, et ensuite je me dis que ce n’est là ce que méritent ni les femmes ni les enfants.
scat
oui et une femme qui ne travaille pas libère un poste… que peut occuper un homme par exemple…. mais chuuuuuuut ! … sujet tabou !!
Pierrette
oui c’est vrai, mais n’oubliez pas que les femmes qui ont un job travaillent aussi pour le bien commun et elles ne sont pas de mauvaises mères pour autant!! Sur ce qu’elles gagnent, elles payent des impôts et des cotisations et ca sert aux autres qui s’occupent de leurs enfants…
olivier
Le probléme dans notre société c’est de croire que si on n’est pas salarié on ne travaille pas .Ce qui est totalement faux élever des enfants c’est du travail et surement le travail le plus important pour une meilleure société .
YannH
Lorsqu’elles exercent le métier de “femme au foyer”, elles exercent le plus beau métier de monde et peut-être le plus difficile car elle sont en chargent de la plus grande partie de l’éducation des enfants qu’elles nous donnent. Pourquoi ne pas leur donner un petit salaire correct et un droit à la retraite ? Peut-être libèraient-elles leur poste ? Il faudrait en plus les protéger vraiment en cas de divorce.
Jacques
En fait ce sondage est extrêmement pervers et en dit bien plus que ce que l’on peut croire.
En effet, on nous dit: plus les femmes ont d’enfant moins elles travaillent.
Pour nous autres catholiques, avec le respect que nous avons de la mère au foyer, notre première réaction est celle de votre post.
Mais en deuxième analyse ont voit bien ce qui se cache. En fait l’idée actuelle est de dire que la femme se “libère” par le travail et que donc finalement la famille serait une entrave à cette libéralisation. Donc il faut pour sa propre liberté inciter la femme à avoir moins d’enfants, d’où incitation à la contraception, puis l’avortement, et j’en passe. On en arrive aux mêmes conclusions que dans le débât écolomanique ou écolonazie.
Alors partons du même présuposé que eux: “le travail nous rendra libre” (tient tient ca me dit quelque chose, mais passons)dans ce cas payons les mères au foyer à la juste valeur de leur travail (je doute que l’on y parvienne quand je vois les journées de ma petite femme), car elles travaillent pour le bien commun, élèvent ceux qui demain travailleront, nous gouvernerons, trouveront le traitement contre des maladies graves. Mais il est vrai que l’on risque d’élever des hommes et des femmes bien trop libres qui ne se laisseraient plus faire, qui n’accèpteraient pas qu’on les fasse revoter pour un traiter qu’ils ne veulent pas, qu’on contourne le vote négatif écrasant qu’ils opposent à une perte massive de souveraineté, ils n’accepteraient plus que l’on piétinne avec le croissant les racines chrétiennes qui sommeillent au fond d’eux et qui ne demandent qu’à se réveiller.
La liberté sous la République n’est décidement pas pour demain….
AML
A Pierrette : combien de femmes, au fond d’elles-mêmes, ont mauvaise conscience de laisser leur enfant ? A quand un salaire pour la mère au foyer ? Les mères au foyer d’aujourd’hui seront les SDF de demain, car pas de retraite et en cas de veuvage, il leur restera la soupe populaire…
my
A Pierrette,
Mais il ne s’agit pas d’opposer une mère qui travaille (souvent par obligation alimentaire) à une mère qui VEUT éléver elle-même ses enfants au prix de grands sacrifices.
Contrairement à ce que vous pensez, elle ne bénéficie d’aucun avantage à rester à la maison, elle dépend complètement de son mari,d’où évidemment le fait d’être mariée.
C’est son seul avantage !
J’ai 4 petits enfants et remercie ma belle-fille d’avoir fait ce choix. Je souhaite que beaucoup d’autres mamans réfléchissent à ce qui est le plus nécessaire pour l’avenir de leurs enfants.
Que les parents (car il faut aussi avoir l’assentiment des papas) considèrent qu’ils est plus important de s’occuper de former les hommes et femmes de demain que vouloir consommer comme tout le monde : vacances lointaines, voiture performante, sport d’hiver, vêtements de marques etc… et j’en passe ! Car souvent il s’agit de montrer et étaler sa réussite sociale ;
cOMBIEN DE MAMANS POURRAIENT RELLEMENT ELEVER LEURS ENFANTS ET NE LE VEULENT PAS CAR CELA DEMANDE DES RESTRICTIONS BUDGETAIRES.
Honneur au mamans qui font le sacrifice de rester dans leur foyer le temps,au moins, de la petite enfance, et militons pour que cette période soit prise en considération par nos hommes politiques !
François Tièvre
Bonjour,
Bien sur Pierrette, nul ne conteste l’apport à la société des femmes qui travaillent et il ne s’agit pas d’un jugement de valeur.
En revanche la société conteste dans sa majorité le fait que les mères au foyer qui ont fait le choix (et parfois le sacrifice)de privilégier la famille, exercent un travail particulièrement utile pour le bien commun.
Aujourd’hui, c’est le statut des mères au foyer qui est socialement contesté pas celui des salariées.
VD
En réalité, plus une femme a d’enfants, plus elle travaille…
Et bien souvent elle se dit qu’il ferait bon être dans un bureau où elle pourrait faire une pause, serait reconnue et valorisée, regonflerait son porte-monnaie et rentrerait se mettre les pieds sous la table, le soir venu !
Conclusion : les mères de famille sont ADMIRABLES, merci à elles.
pavé dans la mare
Bonjour Pierrette,
A l’heure où bon nombre d’hommes est au chômage, voter argument me semble peu recevable.
Cf. la remarque de Scat.
AMarie
à Pierrette : …et des enfants de celles qui travaillent, bien souvent, et en plus bénévolement. N’avez-vous jamais eu recours à la copine qui ne travaille pas pour lui confier, au pied levé, un enfants malade ?