Rien n’est joué pour le référendum de demain. Si le oui apparaît gagnant dans les sondages, le scénario pourrait être le même qu’en 1998, lors du premier référendum. Le "oui" était favori, mais le "non" l’avait emporté avec à peine plus de 50 % des votes et, surtout, l’abstention avait été écrasante (68 %).
Oremus
Marc
Pourquoi l’Eglise n’a-t-elle pas poussé les Portugais à rester chez eux, puisque (semble-t-il) la barre des 50% de votants est indispensable pour valider le scrutin ?
[Réponse de HV : le gouvernement a déclaré que si le oui l’emporte, mais avec une participation trop faible, il procédera par voie législative.]
Marc
[Réponse de HV : le gouvernement a déclaré que si le oui l’emporte, mais avec une participation trop faible, il procédera par voie législative.]
Fabuleux ! Vive la merdocratie, pardon, la démocratie.
Quand le peuple vote “mal”, “ils” passent outre, ou “ils” le font revôter jusqu’à obtenir le résultat attendu… grâce à un matraquage permanent.
C’est une méthode abjecte, mais hélas courante…